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L’astronaute révèle enfin sa technique pour s’endormir en 5 minutes même en apesanteur : elle fonctionne aussi sur Terre

Sommeil profond en cinq minutes, même en orbite : c’est la promesse fascinante venue de l’espace. Imaginez pouvoir fermer les yeux et oublier le bruit des moteurs, la luminosité crue des panneaux, la sensation désorientante de flotter. Grâce à un protocole ultra-simple imaginé par un astronaute d’expérience, cette prouesse ne relève plus de la science-fiction, même dans votre chambre.

Comment une méthode militaire est devenue l’ultime astuce pour dormir dans l’espace ?

À l’origine, cette technique n’avait rien de douillet : des physiologistes militaires l’ont conçue dans les années soixante pour permettre aux pilotes d’avions -essence à zéro, couteaux sous la gorge- de s’endormir en zone de combat malgré le stress et le vacarme.

Dans un monde sans gravité, le corps perd ses repères — jambes qui ne reposent pas sur le matelas, bras qui flottent, nuque qui pèse lourd. Pour un astronaute en tour de garde de six heures puis en repos forcé de six autres heures, cinq minutes valent or. Le protocole est alors repensé : respirations de précision, parcours visuel du crâne aux pieds pour faire « se reposer » chaque atome.

Quelles astuces concrètes fait-on dans la station spatiale ?

Sur la Station spatiale internationale, chaque astronaute dispose d’une minuscule cabine, la taille d’un placard à balais, et d’un sac de couchage fixé au mur. Lumières : jamais vraiment éteintes. Bruits : circulations des collègues, purification d’air, pompes. Le protocole improvisé par notre astronaute confidentiel se découpe en quatre gestes.

  1. Un gros soupir, bouche entrouverte, comme pour souffler sa peur.
  2. Presse-sinus : lèvres closes, on souffle par le nez en comptant « un-deux-trois-quatre ».
  3. Déplacement mental : on imagine le sommet du crâne, derrière les yeux, la gorge, la poitrine, et ainsi de suite jusqu’aux orteils.
  4. Un mot d’ancrage aussi torride ou aussi innocent qu’on veut — « plage », « soupe », « papa » — comme un talisman sonore que l’on chuchote dans la baguette du sac de couchage.

L’explication de Marine Vidal : « J’ai testé la version terrestre et j’ai fait le plein de rêves décents »

Marine, 29 ans, ingénieure en aérospatiale à Toulouse, a connu ce que l’on appelle des « simulations d’apesanteur parabolique » : zéro g pendant vingt-deux secondes dans un Airbus dédié, puis retour brutal à la gravité. Entre deux séances de test du bras robotisé futur de la mission Mars, ses pauses dormir durant souvent à peine 45 minutes.

Une copilote lui glisse alors la méthode « espace ». Marine répète : soupir, presse-sinus, voyage corporel, mot d’ancrage. « Le premier jour, je me suis dit “allons-y, un flamant rose sur un lac rose”. Bingo : je suis revenue sur Terre reposée. » Elle termine le stage avec un énergie-lvl max, des notes précises et l’habitude d’emmener le cahier du protocole dans sa poche.

Est-ce vraiment à la portée de n’importe qui ?

Absolument. Relaxe ton visage. Assieds-toi ou allonge-toi, même dans le métro ou dans la salle d’attente d’un ophtalmo. La méthode brico-névralgique vaut pour ceux qui ne savent pas compter sur un masque de sommeil ni sur des médicaments.

Pour un ado de terminale noyé dans son brevet, la procédure n’est pas un rébus. Les étapes :

  • 1 : soupir lent.
  • 2 : souffle court mais calme par le nez.
  • 3 : mental voyage du front aux pieds en disant « tranquille » à chaque section.
  • 4 : répéter le mot d’ancrage jusqu’à ce que l’esprit décroche.

Quels bénéfices peut-on espérer dans le quotidien ?

Zoé Dubois-Soleil n’est pas pilote, ni astronaute. Elle est infirmière dans le service réanimation d’un grand CHU. Quarts de nuit, bips de défibrillateur, nombre de brancards illogique. Elle maîtrise la méthode depuis trois mois. « Entre un retour d’ascenseur bruyant et la traçabilité des médicaments, je vole trois minutes pour fermer l’œil à l’infirmerie. Au lieu de ruminer mes gauches, je pense à “olive noire” et bam : micro-sommeil réparateur. »

Résultat : son rythme cardiaque passe de 92 à 74 battements par minute après les souffles. Les collègues commencent à réclamer l’astuce en échange du café.

Pourquoi la pratique aide-t-elle à calmer le stress ?

Cadavre : la respirations accélère la poussée de sérotonine, un antidote naturel à l’adrénaline. Visage détendu : on envoie un signal vagal au cerveau “tout roule”. En trois phrases : l’angoisse diminue, l’écoute du corps s’accroît, le sommeil peut surgir comme une vague discrète.

Quand utiliser la technique ?

L’application est quasi illimitée.

  • Voyageurs low-cost à quatre heures du matin.
  • Parents dont le caprice de deux heures du matin éteint la veilleuse.
  • Étudiants la veille d’un bac blanc.
  • E-scoliers en partage d’appartement bruyant.

A retenir

Combien de temps faut-il pour apprendre la méthode ?

La plupart des testeurs prennent entre trois et six essais pour atteindre la période de cinq minutes. Tout se fait dans la tête ; aucune appli, rien à acheter.

Est-ce un remède contre l’insomnie chronique ?

La méthode aide mais ne se substitue pas toujours à un suivi médical en cas d’insomnie sévère. Toutefois, selon un psychiatre du sommeil à Grenoble, 74 % de ses patients signalent un endormissement plus rapide après deux semaines de pratique.

Peut-on faire la technique en plein bureau ?

Oui. Sur un fauteuil, on suit les quatre étapes avec les yeux ouverts puis fermés. Le mot d’ancrage évite de tomber dans une voie rapide du ronflement sonore.

Faut-il bloquer tous les bruits autour ?

Non. Le protocole est pensé pour l’environnement de la station spatiale : perceuses internes, bruits de ventilation… Si l’oreille interne reste exposée, le cerveau termine sa route.

Conclusion

La formule de l’astronaute démontre qu’une science rigoureuse peut aussi se loger dans un soupir prolongé et une pensée courte. Pars pour la Lune ou pour ton canapé : le sommeil disponible en cinq minutes change la physique du quotidien. Lance-toi : soupire, presse, voyage, talisman. Bonne nuit sous les étoiles ou devant un écran Netflix, peu importe.

Anita

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