Chine Devoile Porte Avions Nucleaire 2025
Le 22 juin 2025 sera une date gravée dans l’histoire navale mondiale. La Chine s’apprête à dévoiler son premier porte-avions à propulsion nucléaire, une réalisation technologique qui bouscule les équilibres militaires et géopolitiques. Entre fierté nationale et inquiétudes internationales, cet événement soulève des questions cruciales sur l’avenir de la sécurité en Asie-Pacifique.
Contrairement aux précédents modèles chinois comme le Liaoning ou le Shandong, ce nouveau géant des mers ne dépendra plus des contraintes de carburant. « Imaginez un navire qui peut traverser le Pacifique sans escale pendant des mois », explique Loïc Varenne, analyste en défense basé à Singapour. « C’est une révolution opérationnelle, notamment pour les missions en eaux lointaines. »
Pour Pékin, ce projet n’est pas qu’une prouesse technique. « C’est la matérialisation du slogan Made in China 2025 appliqué à la défense », commente Zhang Wei, chercheur en relations internationales. La maîtrise de la propulsion nucléaire navale place désormais la Chine dans le club très fermé des puissances capables de telles réalisations, aux côtés des États-Unis et de la France.
La perspective de ce porte-avions patrouillant près des îles Spratleys inquiète les voisins. « Nous avons déjà connu des accrochages avec des patrouilleurs chinois », témoigne Arif Rahman, pêcheur indonésien. « Avec un tel navire, qui osera encore leur tenir tête ? »
L’autonomie du bâtiment pourrait permettre à Pékin d’intensifier sa pression sur l’île. « Cela change complètement nos calculs de dissuasion », admet en off un officier taïwanais. Des simulations montrent qu’un groupe naval nucléaire chinois pourrait maintenir un blocus deux fois plus longtemps qu’actuellement.
Washington a annoncé le déploiement anticipé de son nouveau destroyer USS Mitchell dans la région. « Nous surveillons la situation avec nos alliés », déclare le capitaine Rebecca Cole, porte-parole de la 7e Flotte. Des exercices navals conjoints avec le Japon et l’Australie sont prévus dès juillet 2025.
Si la France salue discrètement la performance technique, l’Allemagne exprime des réserves. « Nous craignons une militarisation croissante des voies maritimes », confie Hans Bauer, diplomate allemand. Une position qui révèle les fractures européennes sur la question chinoise.
Parmi eux, Liu Yan, 42 ans, responsable des systèmes de propulsion. « Nous avons dû résoudre des problèmes inédits, comme le refroidissement en milieu marin », raconte-t-il. Son équipe a collaboré avec des chercheurs du programme spatial pour adapter des technologies duales.
Plus de 300 entreprises ont participé au projet, dont la société Shenhua Robotics. « Nos bras articulés pour le chargement des missiles représentent une innovation mondiale », souligne son PDG Zhou Ming. Un savoir-faire qui commence à s’exporter vers d’autres pays.
Contrairement aux porte-avions classiques nécessitant un ravitaillement tous les 8 000 km, le modèle chinois pourrait théoriquement tenir 10 ans sans recharge, limité seulement par l’usure des équipages et des vivres.
Les estimations parlent de 12 à 15 milliards de dollars, soit l’équivalent de 3 ans de budget pour la marine vietnamienne. Un investissement qui inclut la formation de 2 000 spécialistes nucléaires.
Des écologistes pointent le danger potentiel en cas d’accident. « La mer de Chine compte déjà parmi les plus polluées au monde », s’alarme Marine Leclercq de l’ONG OceanGuard. Pékin promet des « normes plus strictes que celles de l’OTAN ».
Ce porte-avions nucléaire chinois n’est pas qu’un simple navire de guerre. C’est le symptôme d’un rééquilibrage géopolitique en cours, où la maîtrise technologique devient l’arme absolue. Comme le résume Zhang Wei : « Hier on comptait les ogives, demain on comptera les réacteurs marins. » Une nouvelle ère stratégique s’ouvre, avec son lot d’espoirs et d’incertitudes.
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