Découverte Choquante Sous Ecole Rouen
L’école primaire Jean Jaurès, située dans un quartier résidentiel paisible, est devenue le théâtre d’une découverte qui a mis toute la commune en émoi.
Le drame commence par une intervention banale : la vérification des canalisations souterraines du groupe scolaire par une équipe de maintenance municipale.
« Nos détecteurs ont soudainement affiché des valeurs aberrantes », se souvient Marc Duval, chef d’équipe présent ce jour-là.
En moins d’une heure, les forces de l’ordre et les services de secours investissent les lieux avec un protocole d’urgence méticuleux.
« Notre réactivité a permis d’éviter le pire », souligne Jérôme Lavigne, adjoint à la sécurité civile.
En ce mardi matin pluvieux, près de huit cents personnes ont été arrachées à leur quotidien sans préavis.
Olivia Kerjan, professeure des écoles en CP, décrit la scène : « Les enfants étaient calmes mais perplexes, certains n’avaient même pas fini leur petit déjeuner ».
Le centre sportif Marcel Pagnol a été réquisitionné dans l’urgence pour accueillir les familles désemparées.
Parmi les évacués, Théo Vasseur, retraité habitant à cent mètres de l’école, témoigne : « À mon âge, quitter sa maison comme ça, sans savoir si on pourra y retourner, c’est une épreuve ».
Malgré le black-out informationnel, plusieurs pistes crédibles émergent du milieu scientifique.
Le géologue Paul-Henri Lauriac avance prudemment : « La composition des sols ici suggère soit un phénomène karstique, soit des poches d’hydrocarbures ».
La présence d’anciens bunkers allemands dans le secteur alimente les spéculations les plus folles.
Un ingénieur anonyme confie : « Certaines infrastructures datant de la guerre pourraient contenir des matériaux dangereux ».
Les urbanistes travaillent déjà sur plusieurs scénarios qui pourraient redessiner entièrement la morphologie du secteur.
Sophie Alby, responsable d’urgence à la DREAL, explique : « Si le gisement s’avère exploitable, cela changerait complètement la donne économique pour la ville ».
« Nous parlons de semaines, voire de mois avant un retour à la normale », prévient le maire lors d’un point presse tendu.
Des anomalies souterraines détectées sous une école ont provoqué une évacuation d’urgence de tout un quartier.
Entre incompréhension et résignation, la communauté attend des réponses claires des autorités.
Les experts se veulent rassurants : les mesures préventives prises écartent tout risque à court terme.
Cette affaire souligne avec acuité la vulnérabilité des zones urbaines face aux aléas souterrains.
Entre enjeux de sécurité, transparence démocratique et développements scientifiques, ce dossier pourrait bien devenir un cas d’école en matière de gestion de crise territoriale.
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