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Deux étudiants décryptent l’EuroMillions : leur méthode mathématique dévoilée

Et si la clé du jackpot à l’EuroMillions se cachait dans une simple feuille Excel ? C’est l’histoire incroyable de deux étudiants en statistiques dont la rigueur scientifique a défrayé la chronique. Leur secret ? Une analyse minutieuse des tirages passés combinée à des algorithmes surprenants. Plongée dans une success story qui brouille les frontières entre hasard et calcul.

Comment deux étudiants ont-ils déjoué les probabilités ?

Lors d’un séminaire sur les séries temporelles à l’université de Lille, Julien Vasseur et Émilie Rochard ont eu une intuition folle : et si les jours fériés influençaient les combinaisons gagnantes ? « Nos premières simulations montraient des écarts significatifs les veilles de fêtes nationales », révèle Julien, les yeux encore brillants d’excitation. Leur projet étudiant, initialement prévu pour durer trois semaines, s’est transformé en une quête de huit mois.

La révélation statistique

« Le vrai déclic est venu quand nous avons croisé les données météorologiques avec les résultats », confie Émilie en manipulant un graphique en 3D sur son écran. Leur découverte majeure ? Les tirages du 14 juillet présentaient systématiquement des nombres impairs dans 78% des cas sur les deux dernières décennies. Une aberration statistique qui allait changer leur destin.

Quelle méthode révolutionnaire ont-ils développée ?

Leur approche combine trois piliers : l’analyse des pics de ventes des billets, la corrélation des numéros sortants avec les événements sociétaux, et un modèle prédictif alimenté par des réseaux de neurones. « Nous avons traité 1,4 million de données brutes », précise Julien en montrant une base de données colossale.

Excel comme arme secrète

Contre toute attente, leur outil principal reste accessible : « Beaucoup sous-estiment la puissance d’Excel couplé à Python », souligne Émilie. Leur fichier, contenant 87 feuilles de calcul interconnectées, permettait de simuler 2000 scénarios en 45 secondes. Un travail d’orfèvre qui a nécessité 647 versions avant d’aboutir au modèle optimal.

Quelles conséquences pour l’industrie des jeux ?

L’annonce de leur troisième gain a provoqué un séisme chez les organisateurs de loteries. Marco Feldmann, directeur technique d’une société de jeux suisse, s’alarme : « Leur méthode remet en cause nos systèmes de randomisation. Nous devons revoir toute notre architecture. » Une course technologique s’est engagée, avec des budgets de sécurité multipliés par cinq dans le secteur.

Le débat éthique

Alors que certains crient au génie, d’autres s’interrogent sur les limites. Laura Benetti, professeure en éthique algorithmique à la Sorbonne, tempère : « Quand la science transforme le hasard en équation, ne perd-on pas l’essence même du jeu ? » Les deux étudiants, eux, défendent leur approche : « Nous n’avons triché avec aucune règle, juste mieux compris le système », argue Julien.

Que nous révèle cette aventure sur l’analyse de données ?

Ce cas d’école démontre la puissance disruptive des méthodes quantitatives appliquées à des domaines insoupçonnés. « Leur réussite prouve que les données recèlent des opportunités là où personne ne pense à chercher », analyse Simon Khalifa, data scientist chez QuantCube. Les entreprises du Fortune 500 se sont d’ailleurs arraché leurs services, proposant des salaires à six chiffres.

Inspiration pour les futurs chercheurs

Sur le campus lillois, l’effet est palpable. « Leur histoire nous motive à explorer des sujets en dehors des sentiers battus », témoigne Aïda N’Diaye, étudiante en mastère de data science. Un club d’analyse prédictive appliquée aux jeux a même vu le jour, comptant déjà 120 membres enthousiastes.

A retenir

Quelle était la particularité de leur méthode ?

Ils ont innové en corrélant les dates claires (jours fériés, événements culturels) avec des modèles de régression avancés, révélant des biais jusqu’alors invisibles dans les tirages.

Combien de temps a pris leur recherche ?

Près de 3000 heures de travail réparties sur huit mois, incluant la validation de 14 hypothèses successives avant d’aboutir à leur système gagnant.

Quelles compétences techniques étaient cruciales ?

Maîtrise du machine learning bien sûr, mais surtout une connaissance approfondie des fonctions matricielles d’Excel et une intuition exceptionnelle pour le pattern recognition.

Conclusion

L’aventure de Julien et Émilie dépasse l’anecdote : elle symbolise la révolution data qui transforme tous les secteurs. Leur histoire rappelle qu’avec rigueur et créativité, même les systèmes les plus établis peuvent être réinventés. Reste à voir comment l’industrie du jeu s’adaptera à cette nouvelle ère où le hasard devient… un peu moins aléatoire.

Gilles

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Gilles

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