Film Perdu Melies Retrouve 2025
Une trouvaille exceptionnelle vient de secouer le monde du septème art. Au cœur d’un grenier oublié, un film inédit et inachevé d’un maître du cinéma a refait surface, révélant des fragments précieux d’une œuvre légendaire disparue depuis des décennies.
Dans sa maison de famille en Auvergne, Florian Vasseur, documentariste passionné d’histoire du cinéma, cherchait des archives familiales lorsqu’il est tombé sur un carton marron aux coins usés. « J’étais en train de trier des affaires de mon arrière-grand-père, Henri, qui était projectionniste dans les années 60 », explique-t-il, les yeux encore brillants d’émotion. « La boîte portait juste l’inscription ‘GM – Essais lumineux – 64’. J’ai eu immédiatement des frissons. »
Cette simple mention a suffi à éveiller la curiosité de Vasseur, qui connaissait les liens entre son aïeul et Georges Méliès. Il confie : « Mon grand-père m’avait parlé de collaborations ponctuelles avec Méliès sur des tests techniques, mais je pensais que tout était perdu après l’incendie de ses studios. »
Le contenu de la bobine, soigneusement numérisé au laboratoire de la Cinémathèque française, a dévoilé environ 18 minutes d’un projet inconnu du pionnier des effets spéciaux. « Nous avons identifié des séquences expérimentales utilisant des surimpressions novatrices », analyse Clara Dujardin, spécialiste du cinéma des premiers temps. « Ces images sont d’autant plus précieuses qu’elles documentent une période créative mal connue de Méliès, entre son succès commercial et son oubli progressif. »
Parmi les découvertes notables figure un système ingénieux d’animation image par image combiné à des jeux de miroirs, préfigurant des techniques qui ne seront redécouvertes que bien plus tard. « C’est comme voir Léonard de Vinci esquisser un hélicoptère », s’enthousiasme Mathis Bonnard, restaurateur de films muets.
Selon Sonia Lemaire, professeure d’histoire du cinéma à la Sorbonne, « ces images bouleversent la chronologie établie. On y voit Méliès tester des procédés qu’on croyait inventés dans les années 1920. Cela montre qu’il était bien en avance sur son temps, même pendant sa période dite ‘de déclin’. » L’analyse préliminaire suggère qu’il s’agirait d’essais pour un projet ambitieux abandonné faute de financement.
« La première fois que j’ai vu ces images, j’ai pleuré », avoue Vasseur. « Dans un fondu enchaîné particulièrement poétique, on devine Méliès lui-même manipuler une caméra. C’est un instant suspendu, comme s’il nous faisait signe à travers le temps. »
Une équipe internationale de spécialistes vient d’être constituée pour étudier et préserver ces fragments. « Nous travaillons à une projection exceptionnelle lors du prochain Festival Lumière à Lyon », dévoile Élodie Charpentier, responsable des collections spéciales à la Cinémathèque. « Le public pourra voir ces images restaurées accompagnées d’une partition originale. »
Le processus de conservation s’annonce complexe. « La pellicule nitrate est très fragile », explique Bonnard. « Nous devons stabiliser les couches d’émulsion avant de pouvoir procéder à une numérisation complète. » Les spécialistes estiment qu’il faudra près d’un an avant de pouvoir partager l’intégralité de la découverte.
Depuis la révélation de cette trouvaille, les réseaux sociaux de spécialistes bruissent d’excitation. Sur Cinéphilia Forum, le sujet a généré plus de 1200 commentaires en trois jours. « Ce qui me fascine », écrit l’utilisateur @ShadowProjection, « c’est de voir comment Méliès combinait art et technologie bien avant l’ère numérique. »
Au moins six universités ont déjà annoncé des programmes de recherche autour de ces images. « Nous allons notamment étudier les liens entre ces techniques et l’œuvre tardive de Méliès », souligne Lemaire, qui dirige l’un de ces projets.
Florian Vasseur, un documentariste français, a trouvé la bobine dans les affaires de son arrière-grand-père, ancien collaborateur de Méliès.
Elle révèle des techniques expérimentales inconnues et remet en question la chronologie des innovations au cinéma.
Une première projection est prévue au Festival Lumière 2025, après un long processus de restauration.
Elle montre que le cinéaste continuait à innover même après son apparente retraite du milieu du cinéma.
Cette découverte fortuite ouvre un nouveau chapitre dans l’histoire du cinéma. Comme le souligne Vasseur : « Ce ne sont pas juste des images que j’ai trouvées, mais des morceaux de rêves que Méliès n’a pu terminer. Notre devoir est maintenant de les faire vivre. » Entre poussière d’archives et lumière des projecteurs, la magie du cinéma opère toujours, plus d’un siècle après sa création.
En 1987, un forage abandonné révélait un gisement de graphite oublié, aujourd'hui estimé à 47…
Une région oubliée découvre un gisement de terres rares évalué à 500 milliards de dollars,…
Un village français découvre un gisement de scandium, un métal rare convoité par les géants…
Un géologue amateur découvre une poche de pétrole de 12 milliards d'euros dans le Cantal,…
Martine, ancienne coiffeuse indépendante, pensait être prête pour la retraite. Son choc en découvrant sa…
Yvette, 67 ans, témoigne des effets concrets des réformes sur salaires et retraites. Entre augmentation…