film anti chaleur
La surchauffe dans les bureaux est devenue un enjeu majeur pour les gestionnaires d’immeubles tertiaires. Canicules répétées, façades vitrées orientées sud et charges internes liées à l’occupation provoquent des températures excessives, parfois supérieures de +6 °C au confort attendu. Face à cela, la climatisation reste coûteuse en OPEX et énergivore, tandis que les stores dégradent la lumière naturelle.
Une alternative se développe : les films anti-chaleur pour vitrages. Ces solutions passives permettent de réduire la chaleur solaire, de limiter l’éblouissement et d’améliorer le confort d’été sans travaux lourds. Installés rapidement, ils peuvent abaisser la température intérieure de –3 à –6 °C tout en réduisant la consommation de climatisation jusqu’à 30 %.
Dans cet article, à l’aide de l’expertise de l’entreprise Vitroconcept spécialiste du film solaire anti-chaleur, nous explorons :
Les dernières années ont vu une augmentation significative des vagues de chaleur estivales. Dans les zones urbaines, les effets d’îlot de chaleur accentuent encore les températures. Les immeubles de bureaux, souvent conçus avec de larges baies vitrées, deviennent particulièrement vulnérables à cette intensité solaire accrue. Résultat : une montée rapide des températures intérieures et un inconfort marqué pour les occupants.
La tendance architecturale aux façades vitrées favorise la luminosité naturelle mais agit aussi comme un amplificateur thermique. Les vitrages classiques laissent pénétrer jusqu’à 80 % de l’énergie solaire, entraînant une élévation notable des températures intérieures. Ce choix esthétique et symbolique de modernité a donc un coût thermique et énergétique.
Les équipements informatiques, l’éclairage artificiel et la densité d’occupation renforcent la chaleur accumulée. Dans les open-spaces, chaque poste de travail représente une source de chaleur supplémentaire. Cette accumulation, combinée à une ventilation parfois insuffisante, explique pourquoi les températures atteignent des niveaux élevés, même sans ensoleillement direct.
Les orientations sud et ouest reçoivent la plus grande intensité solaire en été. Les vitrages exposés captent les rayonnements directs aux heures les plus chaudes de la journée. Les bureaux orientés ouest sont particulièrement inconfortables en fin d’après-midi, au moment où l’activité reste intense et où la climatisation est déjà fortement sollicitée. Cette combinaison rend ces espaces critiques en matière de confort d’été.
Les films anti-chaleur agissent directement sur le rayonnement solaire en bloquant jusqu’à 97 % des infrarouges et une grande partie des UV. Contrairement aux stores, ils réduisent la température intérieure sans compromettre la luminosité naturelle. En comparaison, la climatisation abaisse la température mais ne règle pas le problème d’éblouissement ni la pénétration des UV responsables du vieillissement des matériaux et du mobilier.
En diminuant la chaleur entrante, les films solaires réduisent la sollicitation des systèmes de climatisation. Les consommations électriques peuvent baisser de 30 à 50 % selon l’exposition et la surface vitrée traitée. Cette économie directe se traduit par une baisse notable des coûts d’exploitation, particulièrement durant les périodes de canicule où les factures énergétiques explosent.
Les solutions actives comme la climatisation nécessitent une maintenance régulière, une consommation électrique constante et génèrent du bruit. Les stores, quant à eux, demandent un entretien mécanique et réduisent souvent la visibilité extérieure. Les films solaires, en revanche, sont silencieux, ne nécessitent pas d’énergie et leur entretien se limite à un nettoyage classique des vitrages.
La technologie des films solaires a évolué pour s’adapter aux différents types de vitrages, y compris les doubles vitrages modernes. Leur durée de vie atteint généralement 10 à 15 ans, avec des garanties couvrant le décollement ou la décoloration. Le choix du produit doit prendre en compte le facteur solaire, la transmission lumineuse et la compatibilité avec le vitrage existant pour éviter les risques de casse thermique.
Dans un immeuble tertiaire récent, un open-space de 250 m² orienté plein sud faisait l’objet de plaintes récurrentes. Malgré la présence de stores intérieurs et d’une climatisation centralisée, les températures dépassaient régulièrement 29 °C en période estivale, avec un fort éblouissement gênant le travail sur écran.
Après diagnostic, la direction a opté pour la pose de films solaires clairs sur l’ensemble des vitrages. L’intervention a été réalisée en journée, sans interruption majeure de l’activité, grâce à une installation rapide et sans travaux lourds.
Dès les premières journées ensoleillées, une baisse moyenne de 3 à 6 °C a été constatée à l’intérieur. L’éblouissement sur les postes informatiques a été fortement réduit, améliorant la concentration des équipes et diminuant le recours systématique aux stores.
Les collaborateurs ont rapporté une nette amélioration de leur confort quotidien. La climatisation, auparavant sollicitée en permanence, a vu sa consommation réduite, générant des économies d’énergie immédiates. La direction a observé un meilleur niveau de satisfaction des employés et une productivité accrue grâce à un environnement de travail stabilisé.
Un audit préalable permet d’identifier les zones les plus exposées : vitrages orientés sud et ouest, surfaces vitrées importantes, open-spaces en étage élevé. Le diagnostic inclut l’analyse des températures internes, des apports solaires et du confort visuel.
Les films clairs privilégient la transmission lumineuse tout en rejetant la chaleur. Les films réfléchissants renforcent la performance énergétique mais modifient l’esthétique de la façade. Certains modèles sont spécialisés dans le rejet infrarouge (IR) ou la filtration des UV pour protéger les occupants et le mobilier.
La pose intérieure est la plus courante car elle protège le film des intempéries. Dans certains cas (vitrages difficiles d’accès ou double vitrage sensible), une pose extérieure peut être recommandée. Les techniques varient selon les fabricants, mais toutes permettent une installation rapide, souvent sans interruption d’activité.
Chaque vitrage a des caractéristiques spécifiques. Un film inadapté peut créer un différentiel thermique et fragiliser le verre. La vérification préalable de la compatibilité est donc essentielle, notamment pour les doubles vitrages à faible émissivité.
Un film solaire de qualité bénéficie généralement de garanties allant de 8 à 15 ans, couvrant la décoloration, le décollement ou les défauts optiques. Le cahier des charges doit inclure ces garanties, ainsi que des performances certifiées (facteur solaire, transmission lumineuse, rejet IR).
Les films solaires ne nécessitent qu’un entretien courant, identique à celui d’un vitrage classique. Leur durée de vie varie selon la gamme choisie, mais peut atteindre 15 ans. En cas de rénovation ultérieure, ils peuvent être retirés sans détériorer le vitrage, ce qui en fait une solution flexible et réversible.
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