Marque Asiate Revolutionne Electromenager Europe 2025
L’industrie de l’électroménager traverse une phase de transformation profonde, marquée par l’irruption d’une marque asiatique qui bouscule les codes établis. Son entrée sur le marché européen ne passe pas inaperçue : elle incarne une rupture technologique et environnementale, fondée sur un principe simple, mais radical — l’absence totale de plastique dans la fabrication de ses appareils. Ce positionnement audacieux répond à une attente croissante des consommateurs, soucieux de durabilité, de santé et de transparence dans les choix industriels. Derrière cette innovation se dessine un nouveau paradigme, où performance, esthétique et responsabilité écologique s’unissent pour redéfinir ce que signifie vivre — et cuisiner — au XXIe siècle.
La marque, originaire de Corée du Sud, s’est imposée en Asie en quelques années grâce à une philosophie claire : concevoir des appareils électroménagers qui ne contiennent aucun plastique, ni dans leur structure, ni dans leurs composants internes. Ce choix, à première vue technique, a des implications bien plus larges. Il s’inscrit dans une démarche globale de réduction de l’impact environnemental, en ciblant l’un des matériaux les plus controversés de notre époque.
Les produits, allant du réfrigérateur au four en passant par les plaques de cuisson, sont fabriqués à partir de matériaux naturellement durables : acier inoxydable de haute qualité, verre trempé, céramique et certains alliages métalliques recyclés. Ces matériaux, bien que plus coûteux à l’achat initial, offrent une durée de vie nettement supérieure à celle des appareils traditionnels. Leur recyclabilité en fin de vie est également quasi totale, contrairement au plastique, qui finit souvent en décharge ou dans les océans.
Leur conception repose sur une logique d’économie circulaire. Chaque élément est pensé pour être démonté, réparé ou recyclé sans perte de qualité. « L’idée n’est pas seulement de supprimer le plastique, explique Lena Park, ingénieure en matériaux et conceptrice principale au sein de l’entreprise. C’est de repenser l’ensemble du cycle de vie du produit. Nous voulons que nos appareils soient utilisés pendant des décennies, pas jetés au bout de quelques années. »
Les appareils de la marque surpassent les normes européennes d’efficacité énergétique. Grâce à une isolation optimisée et à des systèmes de gestion thermique intelligents, un réfrigérateur de la gamme consomme jusqu’à 30 % d’énergie en moins que la moyenne des modèles disponibles sur le marché. Ce gain n’est pas seulement bénéfique pour la planète, il se traduit aussi par des économies substantielles pour les utilisateurs.
Le four, quant à lui, utilise un système de chauffage par conduction directe sur paroi métallique, limitant les pertes thermiques. « On a constaté une montée en température plus rapide et une homogénéité parfaite, témoigne Thomas Lefebvre, chef cuisinier dans un restaurant lyonnais. Cela change notre quotidien en cuisine, surtout en période de forte affluence. »
L’acier inoxydable utilisé est traité anti-corrosion et anti-rayures, tandis que le verre trempé supporte des chocs thermiques extrêmes. Ces caractéristiques rendent les appareils particulièrement adaptés aux environnements professionnels, où l’usage intensif est la norme. « J’ai eu des fours qui ont rendu l’âme au bout de quatre ans, soupire Thomas Lefebvre. Celui-ci a deux ans, et il est comme neuf. »
L’arrivée de cette marque en Europe n’est pas perçue comme une simple incursion commerciale, mais comme un véritable défi technologique et éthique. Les grands groupes européens, jusqu’ici dominants, commencent à revoir leurs chaînes de production. Des rumeurs circulent déjà dans l’industrie : plusieurs fabricants français et allemands exploreraient des alternatives au plastique, notamment dans les parties internes des lave-vaisselle ou des machines à laver.
« Cela pourrait bien être le catalyseur nécessaire pour que toute l’industrie repense sa façon de produire », affirme Émilie Rousseau, consultante en innovation durable. « Jusqu’ici, la durabilité était souvent un argument marketing secondaire. Là, on voit une entreprise qui en fait le cœur de sa proposition de valeur. Et ça marche. »
En Allemagne, une proposition de loi est en discussion au Bundestag pour limiter l’usage du plastique dans les équipements électriques ménagers. En France, l’Ademe a lancé un appel à projets pour soutenir les innovations en matière de matériaux durables. L’Agence européenne pour l’environnement surveille de près l’évolution du secteur, avec l’idée de renforcer les exigences de recyclabilité dans les prochaines années.
« Ce n’est plus une question de si, mais de quand », estime Émilie Rousseau. « Les consommateurs sont de plus en plus exigeants. Les entreprises qui ne s’adapteront pas risquent de perdre leur légitimité. »
Le plastique, omniprésent dans les appareils électroménagers, représente souvent entre 15 et 30 % du poids total d’un produit. Or, sa fin de vie est rarement maîtrisée. Beaucoup de pièces en plastique ne sont pas recyclables en raison de leurs additifs ou de leur composition complexe. Elles finissent incinérées, ou pire, dans des décharges illégales.
De plus, la production de plastique dépend fortement du pétrole. Chaque kilogramme de plastique émet en moyenne 2,5 kg de CO₂. À l’échelle d’un million d’appareils, cela représente des dizaines de milliers de tonnes de gaz à effet de serre.
Moins connus, mais tout aussi préoccupants, sont les risques sanitaires liés au plastique. Certains composants, comme les phtalates ou les bisphénols, peuvent migrer vers les aliments ou l’eau, surtout lorsqu’ils sont exposés à des températures élevées. Dans un lave-vaisselle, par exemple, les cycles de lavage à 70 °C peuvent accélérer cette migration.
« En cuisine, chaque détail compte », souligne Camille Moreau, diététicienne à Bordeaux. « Si on prône une alimentation saine, il faut aussi s’assurer que les outils qu’on utilise ne contaminent pas les aliments. Un four ou un réfrigérateur sans plastique, c’est une garantie de non-pollution croisée. »
Jean Dupont, restaurateur installé dans le 11e arrondissement de Paris, fait partie des premiers professionnels à avoir remplacé l’intégralité de son équipement par des appareils sans plastique. Son établissement, « La Table Verte », mise sur une cuisine locale, bio et zéro déchet.
« J’ai toujours été passionné par le respect de l’environnement. Quand j’ai entendu parler de ces appareils sans plastique, j’ai immédiatement su que je devais les intégrer dans ma cuisine. Depuis leur installation, non seulement mes coûts énergétiques ont diminué, mais mes clients sont aussi impressionnés par mon engagement envers la durabilité. »
Le retour sur investissement, selon Jean Dupont, se fait sentir au bout de trois ans. « L’économie d’énergie est réelle. La maintenance est quasi inexistante. Et mon équipe apprécie la robustesse du matériel. »
Le phénomène ne se limite pas aux professionnels. En Suède, une famille de Stockholm a partagé sur les réseaux sociaux sa décision de refaire entièrement sa cuisine avec des appareils de la marque. « On voulait un intérieur sain pour nos enfants », explique Ingrid Bergman (non parente de l’actrice). « En plus, le design est sobre, élégant. On ne fait pas de compromis sur l’esthétique. »
En Belgique, un architecte d’intérieur, Malik Dehouck, les recommande désormais à tous ses clients soucieux de durabilité. « C’est une réponse concrète à une demande sincère. Les gens veulent des solutions, pas du greenwashing. »
Le principal obstacle reste le prix. Les appareils sans plastique sont en moyenne 25 à 40 % plus chers que leurs homologues traditionnels. Cette différence s’explique par le coût des matériaux, les processus de fabrication plus exigeants, et l’absence d’économies d’échelle à ce stade.
« C’est un investissement, pas une dépense », insiste Lena Park. « Si on calcule sur 20 ans, avec la réduction de consommation d’énergie et l’absence de remplacement, le bilan est positif. »
Pour faciliter l’accès, la marque propose des programmes de financement sur 5 ans, ainsi que des garanties allongées à 15 ans. Elle collabore également avec des organismes de rénovation énergétique en France et en Allemagne pour intégrer ses produits dans les aides publiques.
Cette marque se démarque par son engagement total à éliminer le plastique de ses appareils, en utilisant exclusivement des matériaux durables, recyclables et non toxiques comme l’acier inoxydable et le verre. Elle allie cette approche écologique à une haute performance énergétique et à une conception pensée pour durer plusieurs décennies.
Oui. Grâce à l’utilisation de matériaux robustes et à une conception modulaire, ces appareils ont une durée de vie estimée à plus de 20 ans, contre 8 à 12 ans en moyenne pour les modèles classiques. Leur recyclabilité en fin de vie est également bien supérieure.
Oui. En évitant les plastiques, notamment ceux soumis à des températures élevées, on réduit le risque de migration de substances chimiques potentiellement nocives vers les aliments ou l’eau. Cela contribue à une alimentation plus saine, surtout dans les cuisines professionnelles ou familiales.
Les signes sont encourageants. Les premiers retours, tant des professionnels que des particuliers, sont très positifs. L’impact sur les grands fabricants commence à se faire sentir, avec des recherches accrues sur les alternatives au plastique. Bien que le prix reste un frein, la demande pour des produits durables et transparents ne cesse de croître.
Tout porte à croire que oui. L’entrée de cette marque en Europe agit comme un déclencheur. Avec l’appui croissant des réglementations, des consommateurs et des professionnels, le modèle sans plastique pourrait devenir une norme dans les prochaines années, redéfinissant l’avenir de l’électroménager.
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