La NASA révèle pourquoi les astronautes ne voient pas d’étoiles dans l’espace – l’explication surprend

Une révélation scientifique récente bouscule nos représentations les plus poétiques de l’espace. Contrairement aux images de films ou aux récits légendaires, la majorité des astronautes ne voient pas les étoiles durant leurs missions. Ce phénomène méconnu, documenté dans une étude confidentielle de la NASA, remet en question notre vision romantique de l’exploration spatiale.

Pourquoi les astronautes ne voient-ils pas les étoiles depuis l’espace ?

Le rapport interne de l’agence spatiale américaine, daté de juin 2025, révèle que 70 % des astronautes interrogés n’ont pas observé d’étoiles pendant leurs missions. Une statistique qui semble contredire l’idée répandue d’un ciel constellé de points lumineux lorsqu’on quitte l’atmosphère terrestre.

L’expérience d’Aurélien Vasseur, astronaute européen

« Pendant ma mission de six mois sur l’ISS, je m’attendais à des nuits étoilées à couper le souffle », confie Aurélien Vasseur, spécialiste de charge utile. « En réalité, entre l’éclat permanent de la Terre, les reflets sur les panneaux solaires et les lumières des instruments, distinguer une étoile relevait de l’exploit. »

Quels sont les facteurs scientifiques expliquant ce phénomène ?

Trois éléments principaux expliquent cette invisibilité stellaire :

• La luminosité terrestre réfléchie par les océans et les nuages
• L’éblouissement causé par les équipements techniques
• L’absence d’atmosphère qui, paradoxalement, joue habituellement un rôle de filtre lumineux

L’analyse d’Elodie Karnis, astrophysicienne au CNES

« Sur Terre, notre atmosphère diffuse la lumière du soleil le jour et atténue les sources lumineuses artificielles la nuit », explique Elodie Karnis. « Dans l’espace, sans ce filtre naturel, toutes les sources lumineuses – même minimes – créent un bruit visuel qui noie les étoiles. »

Comment cette découverte influence-t-elle les futures missions spatiales ?

Les ingénieurs spatiaux travaillent déjà sur des solutions innovantes pour permettre l’observation astronomique depuis les vaisseaux. Parmi les pistes étudiées :

• Des systèmes d’éclairage adaptatifs modulant leur intensité
• Des hublots avec filtres optiques réglables
• Des périodes programmées d’obscurité totale à bord

Le projet StellarView de la NASA

Marc Leblanc, ingénieur en optique spatiale, décrit les essais en cours : « Nous testons des revêtements nanotechnologiques pour les vitres qui bloqueraient sélectivement certaines longueurs d’onde. Les premiers résultats permettent déjà de distinguer les étoiles de magnitude 3 dans des conditions simulées. »

Quel impact pour les touristes spatiaux ?

Avec l’essor du tourisme orbital, cette réalité physique pourrait décevoir certains passionnés. Théo Renard, futur passager d’un vol suborbital, témoigne : « J’avais rêvé toute ma vie d’admirer la Voie lactée depuis l’espace. Savoir que c’est improbable est une désillusion, mais cela rend l’expérience plus authentique. »

L’adaptation des compagnies spatiales privées

Virgin Galactic et SpaceX intègrent désormais cette donnée dans leurs programmes de formation. « Nous préparons nos clients à cette réalité pour éviter toute déception », précise Sophie Maréchal, responsable des expériences clients chez Axiom Space.

A retenir

Les astronautes voient-ils vraiment les étoiles ?

La majorité ne les distingue pas clairement en raison des conditions lumineuses particulières de l’espace.

Peut-on améliorer cette visibilité ?

Oui, des recherches sont en cours pour développer des technologies permettant d’observer les étoiles depuis les vaisseaux spatiaux.

Cela remet-il en question les photos d’étoiles prises depuis l’ISS ?

Non, les photographies astronomiques utilisent des temps de pose longs et des filtres spéciaux, contrairement à l’œil humain.

Conclusion

Cette découverte transforme notre compréhension de l’expérience spatiale humaine. Loin de diminuer la magie de l’exploration, elle rappelle que l’espace reste un environnement complexe où chaque révélation ouvre de nouvelles questions. Les solutions en développement pourraient bientôt offrir aux astronautes – et peut-être aux touristes spatiaux – le spectacle inégalé d’un véritable ciel d’étoiles, sans voile atmosphérique ni pollution lumineuse terrestre.