Rappel chez Action: ces chips à éviter en 2025, GTIN 8710398529787

Les amateurs d’en-cas croustillants auront tout intérêt à redoubler de vigilance : un rappel alimentaire vise actuellement des chips vendues chez Action. Derrière l’apparente banalité d’un produit d’apéritif se cache une alerte sanitaire sérieuse, qui concerne des lots encore présents en rayon. Pour éviter toute mauvaise surprise, la meilleure arme reste l’information claire, la vérification des étiquettes et une réaction rapide en cas de doute.

De quoi parle-t-on exactement et pourquoi cela vous concerne-t-il ?

Le rappel cible un lot de neuf sachets de chips commercialisés dans l’ensemble des magasins Action en France. Ces produits, très prisés pour les apéritifs d’été, les pique-niques et les déplacements, contiendraient des huiles minérales de type MOSH et MOAH en quantité supérieure aux seuils normalement admis. Même si tous les points de vente n’affichent pas visiblement l’alerte, les paquets sont susceptibles d’être encore en circulation. Cela signifie que chacun peut avoir ce lot chez soi, au fond d’un placard, dans un sac de voyage ou prêt à être servi à des invités. L’information n’est pas anecdotique : elle est directement liée à la protection de votre santé et à de bonnes pratiques d’achat.

La période de commercialisation couvre une fenêtre longue, jusqu’au 23 août 2025, ce qui accroît la probabilité qu’un grand nombre de foyers soient concernés. La clé, c’est de vérifier précisément les informations présentes sur l’emballage, afin d’identifier sans ambiguïté les paquets visés et d’éviter leur consommation.

Comment reconnaître sans se tromper le lot de chips visé ?

Pour identifier les produits rappelés, la référence la plus fiable est le code-barres GTIN. Le code en question est 8710398529787. Il figure généralement à l’arrière du paquet, souvent à proximité des informations nutritionnelles ou du bloc de traçabilité. Une simple comparaison suffit : si le code correspond, le paquet est concerné, quel que soit l’endroit d’achat en France. Il est également recommandé de repérer le numéro de lot, généralement placé près de la date de péremption. En cas de difficulté à le localiser, un passage en caisse avec le produit ou une demande auprès d’un employé en magasin permettra d’obtenir une confirmation rapide.

La précision n’est pas un luxe. S’il y a plusieurs paquets à la maison, mieux vaut mettre de côté tous ceux qui paraissent suspects pour les vérifier calmement. C’est le choix qu’a fait Solène Caradec, infirmière libérale, après avoir lu l’alerte pendant sa pause déjeuner. Elle a immédiatement trié ses placards : « J’ai pris mon téléphone, j’ai noté le GTIN, puis j’ai sorti tous les paquets. Deux correspondaient. Je ne les ai pas ouverts, je les ai remis dans un sac pour les ramener en magasin. C’est rassurant d’avoir un geste simple et efficace. »

Qu’est-ce qui pose problème avec les huiles minérales MOSH et MOAH ?

Les huiles minérales MOSH et MOAH sont des substances qui ne sont pas destinées à l’alimentation. Lorsqu’elles dépassent certains seuils, elles peuvent poser des problèmes de santé, notamment parce que certaines d’entre elles s’accumulent dans l’organisme. L’exposition prolongée est la principale source d’inquiétude. C’est précisément ce risque potentiel qui motive le rappel : éviter que des consommateurs ne s’exposent à des quantités jugées excessives au regard des normes européennes.

Leur présence dans des produits alimentaires peut résulter, par exemple, de matériaux d’emballage, de lubrifiants industriels ou de contaminations croisées au cours des processus de fabrication et de conditionnement. De tels incidents rappellent l’importance de contrôles stricts et de la traçabilité. Pour les consommateurs, le bon réflexe consiste à interrompre immédiatement la consommation des lots concernés. « Je cuisine beaucoup à la maison, mais les chips, c’est notre petit plaisir du vendredi soir, raconte Lucas Joly, développeur web. Là, je préfère jouer la prudence. On a mis le paquet de côté et on est passés à l’épicerie acheter des alternatives pour l’apéro. »

Que devez-vous faire si vous possédez un paquet concerné ?

La recommandation est claire : ne pas consommer les chips et rapporter le produit en magasin. Aucun justificatif n’est requis. Le remboursement est garanti jusqu’au mardi 2 septembre 2025. Cette procédure simple vise à retirer rapidement les paquets du circuit domestique et à limiter toute exposition. Si vous avez déjà entamé un sachet, ne le terminez pas. Conservez l’emballage, car il contient les informations indispensables (GTIN, numéro de lot, date) pour une prise en charge fluide au point de vente.

Le retour en magasin est pensé pour être sans friction. Si vous avez un doute, n’hésitez pas à présenter le paquet à un employé, qui pourra vérifier le code-barres ou passer le produit en caisse afin de confirmer le rappel. La démarche ne prend que quelques minutes et vous évite des interrogations persistantes. « Je me suis présenté à la caisse avec trois paquets, confie Éléonore Béranger, étudiante en sociologie. La caissière a confirmé le rappel sans discuter et j’ai été remboursée tout de suite. J’ai apprécié la simplicité. »

Comment vérifier efficacement vos placards sans y passer des heures ?

La méthode la plus rapide consiste à rassembler tous les produits de la même catégorie, à lire en priorité les codes-barres et les numéros de lot, puis à isoler ceux qui correspondent. Pour ne pas vous perdre, prenez une photo du code GTIN à rechercher. Si plusieurs membres du foyer s’en occupent, partagez la photo sur le groupe familial. Classez ensuite les paquets en deux piles : « à rapporter » et « OK ». Enfin, prenez un sac réutilisable pour le retour en magasin, en pensant à garder les emballages intacts pour faciliter le remboursement.

Ce tri est aussi l’occasion de vérifier d’autres produits transformés et de jeter un œil aux dates de péremption. Nombre de foyers s’étonnent de la quantité d’articles dépassés ou inutilisés. Pour Éric Vaysse, responsable qualité dans une PME agroalimentaire, c’est un déclic utile : « L’alerte m’a fait réaliser qu’on garde trop de snacks “au cas où”. On a rationalisé nos achats, on lit davantage les étiquettes, et on privilégie des produits plus simples. »

Quelles alternatives privilégier pour vos apéros de l’été ?

Renoncer au croquant n’est pas une fatalité. Des options simples existent, souvent plus saines et tout aussi conviviales. Les chips maison, par exemple, se préparent facilement au four avec très peu d’huile. Patate douce, betterave, courgette ou même topinambour offrent des textures variées et des saveurs étonnantes. Il suffit d’émincer finement, d’ajouter une pointe d’huile d’olive et une pincée de sel, puis d’enfourner jusqu’à obtenir une dorure légère.

Pour ceux qui manquent de temps, les crackers ou gressins du commerce constituent une solution efficace, à condition d’opter pour des références plus courtes en additifs. Les bâtonnets de légumes crus—carottes, concombre, radis, céleri—accompagnés d’un houmous ou d’un tzatziki apportent de la fraîcheur et un vrai plaisir de bouche. Les fruits secs et oléagineux, comme les amandes, les noix de cajou ou les raisins, complètent le plateau avec un bon équilibre de goût et d’énergie. « Nous avons remplacé les chips par un mix d’oléagineux et de crudités, explique Aïcha Belkacem, cheffe de projet événementiel. Au final, nos invités ont tout dévoré, et on s’est passé des paquets sans frustration. »

Comment garder le plaisir de la convivialité tout en restant prudent ?

Le secret réside dans l’anticipation. Avant un apéritif entre amis, vérifiez vos stocks, privilégiez des produits dont l’origine et la composition sont lisibles, et diversifiez les textures : croquant, fondant, acidulé, crémeux. Proposez par exemple un trio simple—crudités colorées, houmous citronné, poignée de noix torréfiées—et ajoutez un bol de chips maison pour le croustillant. Si l’envie de chips industrielles persiste, faites un passage express par l’étiquette pour contrôler la liste d’ingrédients et le code-barres.

Dans la pratique, la transition se fait sans heurts. Après l’alerte, Sacha Rey, professeur d’histoire-géographie, a transformé son apéro du samedi : « On a gardé l’idée du partage, mais avec des produits choisis et faits maison. Les enfants ont adoré les chips de patate douce et on a découvert un houmous à la coriandre. Finalement, l’alerte nous a poussés à tester autre chose. »

Pourquoi la lecture des étiquettes devrait-elle devenir un réflexe ?

La plupart des incidents de sécurité alimentaire peuvent être déjoués par une attention portée à quelques éléments clés : code-barres, numéro de lot, date de durabilité minimale, et liste d’ingrédients. Une lecture rapide permet d’éviter les produits rappelés et de mieux comprendre ce que l’on met dans son panier. Cette habitude ne demande pas un grand effort, mais elle a un impact réel : elle oriente les choix vers des références plus transparentes, réduit le risque d’exposition aux substances indésirables et incite les fabricants à maintenir des standards élevés.

Instaurer ce réflexe est simple. Définissez une petite check-list mentale : 1) Je regarde le code-barres si un rappel a été communiqué; 2) Je repère le lot et la date; 3) Je parcours les ingrédients; 4) Je privilégie des alternatives si un doute subsiste. Avec le temps, ce geste devient aussi automatique que vérifier son portefeuille avant de sortir.

Que retenir du calendrier et des modalités de remboursement ?

La fenêtre de commercialisation des chips concernées s’étend jusqu’au 23 août 2025. Les produits peuvent donc avoir été achetés récemment ou il y a plusieurs mois. Le remboursement est proposé jusqu’au mardi 2 septembre 2025, sans justificatif. Conservez l’emballage et rapportez le paquet en magasin pour une prise en charge immédiate. Si vous avez des paquets entamés, n’en consommez pas davantage : les enseignes procèdent généralement au remboursement même lorsque l’emballage a été ouvert, dès lors que le produit est identifié comme faisant partie du lot rappelé.

En parallèle, notez la référence du code-barres GTIN à surveiller : 8710398529787. Cette information suffit pour reconnaître un paquet problématique et agir instantanément, sans recherche interminable.

Comment parler de ce rappel autour de vous sans inquiéter inutilement ?

Le but n’est pas d’alimenter l’anxiété, mais d’encourager une vigilance constructive. Partagez l’information de manière factuelle : indiquez le code GTIN, la recommandation de non-consommation, la procédure de retour, et la date limite de remboursement. Évitez les formulations alarmistes et privilégiez une approche pratique. Envoyer un message concis sur un groupe d’amis ou de famille, avec la référence du code-barres, suffit à protéger votre entourage. Cette communication positive renforce le réflexe de contrôle plutôt que de générer de la suspicion généralisée.

« J’ai écrit à notre groupe de voisins avec le code et la date, raconte Maëlis Courson, urbaniste. Plusieurs ont vérifié leurs placards le soir même. Le ton était simple, sans dramatiser, et tout le monde a trouvé la démarche utile. »

Conclusion

Cette alerte sur des chips vendues chez Action rappelle la valeur d’un geste simple : lire l’étiquette. Un code-barres à vérifier, un lot à identifier, un retour en magasin sans complication, et l’affaire est réglée. En attendant, rien n’empêche de savourer des alternatives plus saines, de redécouvrir des recettes maison et de maintenir la convivialité qui fait le sel de l’été. La prudence n’ôte rien au plaisir; elle l’éclaire et le sécurise.

A retenir

Quel produit est concerné par le rappel ?

Un lot de neuf sachets de chips vendu dans tous les magasins Action en France. Le code-barres GTIN à vérifier est 8710398529787. La commercialisation s’étend jusqu’au 23 août 2025.

Quels sont les risques pour la santé ?

Les chips concernées peuvent contenir des huiles minérales MOSH et MOAH en quantité excessive. Une exposition prolongée à ces substances est susceptible d’avoir des effets indésirables; il est donc recommandé de ne pas consommer ces paquets.

Que faire si j’ai un paquet chez moi ?

Ne le consommez pas. Rapportez-le en magasin pour un remboursement sans justificatif, possible jusqu’au mardi 2 septembre 2025. Conservez l’emballage pour faciliter l’identification.

Comment vérifier rapidement si mon paquet est concerné ?

Repérez le code-barres GTIN 8710398529787 sur l’emballage et, si besoin, le numéro de lot près de la date de péremption. En cas de doute, demandez une vérification en caisse ou à un employé.

Quelles alternatives proposer pour l’apéritif ?

Optez pour des chips maison au four (patate douce, betterave, courgette), des crackers ou gressins à liste d’ingrédients courte, des bâtonnets de légumes avec houmous ou tzatziki, et des fruits secs et oléagineux. Ces solutions allient goût, simplicité et meilleure qualité nutritionnelle.

Comment éviter ce type de problème à l’avenir ?

Adoptez le réflexe de lecture des étiquettes : vérifiez le code-barres et le lot lorsqu’un rappel est signalé, parcourez la liste d’ingrédients, et privilégiez des produits plus simples. En cas de doute, abstenez-vous de consommer et demandez conseil en magasin.

Le remboursement est-il possible même pour un paquet entamé ?

Oui, dès lors que le produit est identifié comme faisant partie du lot rappelé, les magasins procèdent au remboursement sans justificatif. Gardez l’emballage pour faciliter la démarche.

Les paquets sont-ils encore en magasin ?

Oui, des lots peuvent encore se trouver en rayon. D’où l’importance de vérifier les étiquettes avant achat et de rapporter tout paquet correspondant au code GTIN indiqué.

La vigilance doit-elle être permanente ?

Oui, sans tomber dans l’inquiétude. Une lecture rapide et systématique des informations clés sur l’emballage suffit à prévenir la plupart des désagréments et à continuer de profiter d’achats sereins.