Riz Basmati Pesticide Cache Inquietant
Le riz, cette céréale incontournable dans nos cuisines, semble être un allié santé et budget. Pourtant, certaines marques cachent une réalité moins appétissante. Entre bienfaits nutritionnels et risques méconnus, plongeons dans les secrets de cet aliment universel.
Le riz, souvent comparé aux pâtes, est bien plus qu’un simple accompagnement. « J’en mange avant chaque marathon pour éviter les coups de pompe », confie Romain Vasseur, coureur amateur. Avec ses glucides complexes, il fournit une énergie stable, idéale pour les sportifs ou les journées chargées.
Sa composition en fait également un partenaire minceur redoutable. Pauvre en graisses et sans cholestérol, il s’intègre parfaitement dans un régime équilibré. « Après ma grossesse, le riz complet m’a aidée à retrouver mon poids sans frustration », témoigne Lise Ambroise, jeune maman.
L’aspect économique du riz explique en partie son succès populaire. « Avec cinq enfants, le riz est notre sauveur », raconte Karim Belkacem, père de famille. Son pouvoir gonflant impressionnant – 100g secs deviennent 300g cuits – en fait un aliment roi pour les grandes tablées.
Dans les rayons, son prix reste imbattable : entre 1 et 4€ le kilo selon les variétés. Une aubaine quand on sait que la même quantité nourrit trois fois plus après cuisson.
Derrière ces atouts se niche pourtant une ombre au tableau. L’enquête récente de 60 Millions de consommateurs a révélé des résultats alarmants. « J’ai été choquée d’apprendre que mon riz basmati préféré contenait des pesticides », s’indigne Élodie Chambert, habituée des épiceries asiatiques.
Les analyses pointent particulièrement le riz basmati non-bio importé d’Asie. Des marques comme Saint Eloi ou Vivien Paille contiendraient des résidus de produits chimiques. « Mon médecin m’a conseillé de switcher vers du bio après mes problèmes digestifs », relate Théo Lavigne, étudiant.
Face à ces risques, quelques précautions s’imposent. Florine Duchamp, nutritionniste, recommande : « Privilégiez les labels AB ou Demeter, et lavez toujours votre riz à plusieurs eaux ». L’origine européenne garantit également un meilleur contrôle des pesticides.
Pour les puristes, le riz de Camargue offre une alternative locale. « Depuis que j’achète du riz français, je retrouve le vrai goût de mon enfance », se réjouit André Lacombe, retraité provençal.
Oui, à condition de choisir des qualités complètes ou semi-complètes. Riche en nutriments et pauvre en graisses, il constitue une excellente source d’énergie.
Optez pour des marques bio, lavez abondamment le riz avant cuisson, et privilégiez les origines européennes aux contrôles plus stricts.
Une portion de 60 à 80g de riz cru (environ 200g cuit) constitue une dose raisonnable pour un adulte dans le cadre d’une alimentation équilibrée.
Le riz demeure un aliment de base précieux, à condition d’en maîtriser les pièges. Entre économie, nutrition et sécurité alimentaire, le consommateur averti saura tirer le meilleur de cette céréale millénaire sans en subir les travers. Comme le résume si bien Clara Nocé, chef cuisinière : « Un bon riz, c’est comme un bon vin – ça se choisit avec soin et ça se savoure sans modération. »
Dès septembre, la CAF étend son aide aux frais de garde jusqu'aux 12 ans de…
Obtenir plusieurs aides de l'ANAH est possible sous conditions : découvrez comment renouveler votre dossier…
Pare-soleil en voiture : en Espagne, cet accessoire banal peut vous valoir 200€ d'amende. Découvrez…
Nouvelles règles pour les seniors : l’assurance chômage et la retraite évoluent en 2025. Décryptage…
Découvrez les aides financières disponibles en France pour alléger le coût des obsèques : soutiens…
Un dermatologue alerte : réutiliser sa crème solaire de l’an dernier réduit son efficacité et…