Salon Stylé 2025 Tv Design Décorateurs
Chaque automne, les intérieurs semblent chercher une nouvelle harmonie. La lumière naturelle s’estompe, les soirées s’allongent, et l’on aspire à un espace chaleureux, où chaque objet participe à une ambiance sereine. Pourtant, longtemps, la télévision a été l’élément perturbateur du salon : un rectangle noir qui, même éteint, capte le regard et casse l’équilibre d’une décoration soignée. En 2025, cette époque révolue. La TV n’est plus un intrus, mais un allié de style. Elle quitte le fond du mur pour s’installer au cœur du décor, non pas comme un appareil, mais comme une œuvre. Une révolution douce, portée par des designs audacieux et une vision nouvelle de l’habitat. Parmi eux, un modèle s’impose : The Serif, fruit d’une alliance inédite entre technologie et art. Racontons cette transformation à travers des intérieurs, des regards, et des moments vécus.
Il fut un temps où l’on cachait la télévision comme on cache un défaut. Derrière un panneau coulissant, dans un meuble fermé, ou noyée dans une bibliothèque. Mais cette dissimulation n’était-elle pas une forme de renoncement ? En 2025, les décorateurs, comme les particuliers, refusent de sacrifier l’esthétique à l’utilité. La télévision, désormais, doit avoir du charme. Elle doit dialoguer avec les matériaux, les couleurs, les lignes de l’espace.
Élodie Rambert, architecte d’intérieur à Bordeaux, le confirme : “J’ai observé un basculement radical ces deux dernières années. Mes clients ne me demandent plus comment cacher leur télé, mais comment la mettre en valeur. C’est un signe. La télé est devenue un objet de désir, pas seulement de consommation.”
Cette mutation s’explique par une double évolution : d’un côté, les écrans sont plus fins, plus légers, et surtout, plus beaux. De l’autre, notre rapport à la maison a changé. Elle n’est plus seulement un lieu de repos, mais un espace hybride : lieu de travail, de réception, de création. Chaque objet doit donc être fonctionnel, certes, mais aussi porteur d’émotion.
La clé réside dans la visibilité. Une télé éteinte ne doit plus être un trou noir dans le salon. Elle doit continuer à raconter une histoire. C’est ici que des fonctionnalités comme le Mode Ambiant prennent tout leur sens. L’écran devient un tableau, affichant des œuvres minimalistes, des paysages doux, ou des motifs abstraits qui épousent la lumière du jour.
“Quand j’ai installé The Serif chez moi, j’ai eu l’impression d’ajouter un élément de déco, pas un appareil”, raconte Julien Lavigne, photographe et amateur de design. “Le soir, avec le mode artistique activé, c’est comme si j’avais une exposition permanente dans mon salon. Mes amis pensent que c’est un tableau numérique, jusqu’à ce que je l’allume.”
Conçue par les frères Bouroullec, designers français renommés pour leur travail avec Vitra, Ikea ou Hermès, The Serif incarne une rupture. Elle ne suit pas les codes du design technologique — sobre, invisible, intégrée. Au contraire, elle assume sa présence. Sa silhouette, inspirée de la typographie, évoque un “I” majuscule avec des empattements. Vue de profil, elle semble flotter, portée par de fins pieds en métal.
“C’est une télévision qui ose être belle même quand elle est éteinte”, souligne Élodie Rambert. “Son cadre texturé, son toucher mat, sa forme sculpturale… elle invite au regard, pas à l’ignorer.”
Le choix des matériaux joue un rôle central. The Serif utilise des finitions douces, des couleurs enveloppantes — blanc craie, vert sauge, bleu profond — qui s’harmonisent avec les tendances automnales de 2025. Ces teintes, loin des noirs glacés ou des gris métalliques, s’intègrent naturellement aux intérieurs bohèmes, scandinaves ou “slow déco”, où les matières naturelles dominent.
À Lyon, Camille Thibault, créatrice de bijoux, a choisi la version vert sauge pour son appartement lumineux. “Je voulais quelque chose qui ressemble à un meuble ancien, pas à une machine. Le vert s’accorde avec mes plantes, mes tapis en laine brute, mes étagères en chêne. La télé est devenue un élément du décor, pas une addition.”
La modularité du produit est également un atout. The Serif peut être posée sur ses pieds, intégrée à un meuble bas, ou même accrochée au mur — sans jamais perdre son identité. Cette flexibilité permet de l’adapter à des espaces variés : un petit studio parisien, une maison de campagne, un loft industriel.
Le défi, pour les décorateurs, est de concilier présence et légèreté. Une télé design ne doit pas dominer, mais dialoguer. Elle doit respirer avec l’espace, pas l’étouffer.
La première règle : lui laisser de l’air. “The Serif aime être vue, mais pas encerclée”, explique Élodie Rambert. “Je conseille souvent de la placer sur un tapis épais, face à un canapé bas, avec un fauteuil en rotin ou une plante grimpante à proximité. Cela crée un îlot de détente, presque théâtral.”
À Nantes, Marc Aubert, enseignant et père de deux enfants, a installé sa The Serif en séparation légère entre le salon et la salle à manger. “C’est devenu une frontière douce, pas une cloison. Le soir, quand on dîne, l’écran affiche des motifs géométriques très doux. C’est comme si on avait une œuvre d’art entre les deux pièces. Mes enfants adorent deviner ce que c’est.”
La deuxième astuce : mixer les matières. Un plaid en laine, des coussins en lin lavé, un vase en céramique brute — ces éléments d’automne renforcent l’impression de chaleur et d’intimité. The Serif, avec son cadre texturé, répond à cette recherche de tactile, de naturel.
Enfin, les couleurs. Les tons chauds — ocre, terracotta, vert olive — sont idéaux pour réchauffer un intérieur à l’approche de l’hiver. Mais il ne s’agit pas de contraindre la décoration à la télé, ni l’inverse. “L’important, c’est la cohérence”, précise Élodie. “Si votre intérieur est sobre, choisissez une finition neutre. Si vous aimez les contrastes, osez le bleu profond sur un mur blanc.”
Plus qu’un objet, The Serif incarne un état d’esprit. Elle traduit un désir croissant de ralentir, de personnaliser, de créer des espaces qui nous ressemblent. Elle s’inscrit dans cette tendance du “slow life”, où chaque détail compte, où la technologie s’efface pour laisser place à l’émotion.
“Avant, quand on regardait un film, tout le monde se tournait vers le mur”, raconte Camille Thibault. “Maintenant, avec The Serif, c’est différent. Elle est au milieu, elle participe à la scène. On a l’impression de regarder quelque chose ensemble, pas de subir un écran.”
Cette centralité transforme aussi les soirées. Lorsqu’elle est éteinte, la télé ne disparaît pas. Elle continue à exister, par ses lignes, par son ambiance. Elle devient un point de repère, un élément de conversation. “Mes amis me demandent toujours où je l’ai trouvée”, sourit Julien Lavigne. “C’est rare qu’on parle d’une télé comme d’un objet de déco.”
Dans les foyers, cette évolution se traduit par une redéfinition du salon. Il n’est plus seulement un lieu de divertissement passif, mais un espace de vie actif, où l’on reçoit, où l’on crée, où l’on se retrouve. The Serif, en tant que pièce maîtresse, devient le symbole de cette transformation.
On peut imaginer que cette tendance ne fera que s’amplifier. Les marques vont continuer à collaborer avec des designers, à explorer de nouvelles formes, de nouveaux matériaux. L’écran, peut-être, deviendra transparent, ou intégré à des miroirs, des portes, des œuvres d’art.
Mais l’essentiel n’est pas là. Ce qui change, c’est notre rapport aux objets. Nous ne voulons plus de technologie invisible, mais de technologie significative. Une télévision qui ne se contente pas de diffuser des images, mais qui en devient une elle-même.
Parce que notre rapport à la maison a évolué. Nous cherchons des intérieurs cohérents, chaleureux, où chaque objet a du sens. La télévision, longtemps reléguée au rang d’appareil utilitaire, est désormais pensée comme un élément de style, capable de renforcer l’ambiance d’un salon.
Conçue par les frères Bouroullec, The Serif allie design sculptural, matériaux nobles et fonctionnalités innovantes. Sa silhouette reconnaissable, ses finitions mates et son Mode Ambiant en font un objet qui participe à la décoration même lorsqu’il est éteint.
En lui laissant de l’air, en jouant sur les matières naturelles et les couleurs d’automne, et en la plaçant de manière centrale mais fluide. Elle peut servir de séparation entre deux zones, ou de point focal dans un salon cosy.
Oui. Grâce à ses différentes finitions, ses formats variés et sa modularité, The Serif s’adapte aussi bien à un intérieur scandinave qu’à un style industriel, bohème ou classique. Elle dialogue avec les matériaux, les couleurs, et les lignes de l’espace.
Elle transforme le salon en un lieu de rassemblement plus chaleureux. En remplaçant la dalle noire par des images douces ou des effets de lumière, elle crée une ambiance propice aux discussions, aux dîners, aux moments cocooning, sans imposer une présence froide ou intrusive.
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