Super Mario Galaxy Switch Solution Complete Tout Reussir
Depuis sa sortie originale sur Nintendo Wii en 2007, Super Mario Galaxy a marqué les esprits par son univers cosmique, sa mécanique de gravité révolutionnaire et sa quête étoilée à travers des planètes miniatures. Aujourd’hui de retour sur Nintendo Switch, le jeu ravive la magie du plombier moustachu dans une aventure galactique où chaque bond, chaque saut, chaque étoile compte. Pour sauver la Princesse Peach des griffes de Bowser, Mario doit traverser des galaxies aux lois physiques surprenantes, guidé par Harmonie, la mystérieuse Princesse des étoiles. Mais comment retrouver les 120 étoiles dispersées dans l’espace ? Et que se passe-t-il une fois que l’on pense avoir tout vu ? Cet article explore chaque facettes de cette aventure interstellaire, à travers des témoignages, des stratégies et des découvertes qui feront la différence entre un simple sauvetage et une conquête totale de l’univers Mario.
Le cœur de Super Mario Galaxy repose sur une progression à la fois linéaire et ouverte. L’aventure principale peut être menée à bien avec 60 étoiles en poche. Ce seuil permet d’accéder au combat final contre Bowser et de libérer Peach. Cependant, ce n’est qu’un début. Pour beaucoup de joueurs, comme Camille, 32 ans, professeur de physique et passionné de jeux rétro, « atteindre les 60 étoiles, c’est comme passer le permis de conduire. On maîtrise les bases, mais on n’a pas encore exploré les routes de montagne ». Camille a mis près de trois semaines à compléter cette première phase, tout en découvrant les subtilités des niveaux à gravité variable. « Ce qui m’a frappé, c’est la façon dont Nintendo joue avec les lois de la physique. Tu marches sur une petite sphère, tu sautes, et tu te retrouves de l’autre côté, comme si tu avais fait le tour de la Terre en un bond. C’est poétique et scientifique à la fois. »
Oui, mais avec une nuance importante. Le scénario principal s’achève après 60 étoiles, mais de nombreux niveaux restent inaccessibles. Les galaxies bonus, les défis cachés et les costumes spéciaux ne s’activent qu’en collectant davantage d’étoiles. Pour Clément, 28 ans, développeur de jeux indépendants, « c’est là que Mario Galaxy devient plus qu’un jeu d’action : c’est un puzzle cosmique. Chaque étoile manquante, c’est une pièce du décor qui ne s’affiche pas. Et pour un perfectionniste, ça rend fou ».
La progression dans Super Mario Galaxy suit une architecture en arbre. Chaque vaisseau cosmique, piloté par Rosalina depuis l’observatoire, ouvre l’accès à une nouvelle galaxie. Certaines galaxies nécessitent un nombre précis d’étoiles pour être déverrouillées. Par exemple, la galaxie des Comètes ne devient accessible qu’après 30 étoiles, tandis que la galaxie du Dernier Recours exige 100 étoiles.
Les comètes sont des événements aléatoires qui modifient les conditions des niveaux déjà visités. Une comète peut transformer un niveau paisible en un défi chronométré, ou imposer de terminer un stage sans subir le moindre dégât. Elles sont essentielles pour récupérer des étoiles bonus. Léa, 24 ans, streamer sur une plateforme française, raconte : « J’ai passé des heures à attendre que la comète du temps apparaisse. J’avais besoin de l’étoile “Chrono contre le méga-boulet” pour atteindre 80 étoiles. Quand elle est enfin arrivée, j’ai eu une montée d’adrénaline incroyable. C’était comme si l’univers m’offrait une dernière chance. »
L’achèvement de la collection initiale des 120 étoiles n’est pas la fin. Bien au contraire. C’est à ce moment que s’ouvre une nouvelle dimension du jeu : la possibilité de rejouer toute l’aventure, mais cette fois, dans la peau de Luigi.
Luigi, le frère cadet de Mario, n’est pas une simple copie. Son gameplay est distinct : il saute plus haut, glisse plus facilement, et sa prise en main est délibérément plus instable. « Luigi, c’est le funambule du jeu », explique Camille. « Il te donne l’impression de perdre le contrôle, alors que tu apprends à le maîtriser. C’est un vrai changement de paradigme. » Chaque étoile collectée avec Luigi compte à nouveau, ce qui porte le total potentiel à 240 étoiles.
La 241e étoile, souvent appelée « l’étoile ultime », n’est accessible qu’après avoir récupéré les 120 étoiles avec Luigi. Elle ouvre un dernier niveau, caché dans les tréfonds de l’observatoire. Ce niveau, baptisé « Galaxie des Ombres », est une épreuve de plateforme extrême, où chaque saut est calculé, chaque mouvement vital. « C’est un hommage aux joueurs les plus patients », confie Clément. « Il n’y a pas de sauvegarde intermédiaire. Si tu meurs, tu recommences tout. C’est brutal, mais quand tu l’as fini… tu te sens comme un dieu du jeu vidéo. »
Faire 100 % de Super Mario Galaxy n’est pas une obligation, mais une quête personnelle. Elle implique de collecter toutes les étoiles, tous les fragments de pouvoir, tous les costumes, et de vaincre chaque comète. Pour Léa, « c’est une forme de méditation. Chaque détail compte. Chaque son, chaque animation. Tu ne joues plus seulement pour gagner, tu joues pour ressentir. »
Pas nécessairement, mais un guide vidéo peut faire toute la différence, surtout pour les étoiles les plus obscures. Certaines, comme « L’étoile cachée dans la galaxie des glaces » ou « Le trésor du poisson fantôme », sont si bien dissimulées qu’elles ont donné lieu à des débats en ligne pendant des années. « J’ai trouvé une étoile en marchant sur une paroi invisible », raconte Camille. « Je n’y croyais pas. J’ai vérifié trois fois si ce n’était pas un bug. Mais non, c’était bien voulu. Nintendo aime nous surprendre. »
Les guides vidéo permettent de visualiser les trajectoires, les sauts impossibles, les astuces de gravité. Ils sont particulièrement utiles pour les niveaux à temps limité ou les épreuves de coordination. « Je ne triche pas, je m’inspire », précise Léa. « Je regarde une fois, je comprends le principe, puis je le fais seul. C’est comme apprendre une chorégraphie. »
Évidemment. Beaucoup de joueurs préfèrent l’exploration libre. Mais dans Super Mario Galaxy, certains passages reposent sur des mécaniques si inattendues qu’ils peuvent bloquer des semaines durant. « J’ai passé cinq jours sur un niveau avec des planètes en rotation », avoue Clément. « J’ai fini par regarder une vidéo. Pas pour copier, mais pour comprendre la logique. Ensuite, j’ai réussi du premier coup. »
Une fois les 241 étoiles en poche, le jeu offre un écran de fin particulier : une vue plongeante sur l’univers, avec toutes les galaxies illuminées. C’est un moment rare, presque contemplatif. « J’ai mis la musique en boucle, j’ai laissé tourner la caméra, et j’ai juste regardé », raconte Léa. « C’était comme si j’avais construit cet univers, pas seulement joué dedans. »
Pour ceux qui ont tout terminé, le chemin mène naturellement à Super Mario Galaxy 2. Ce volet, encore plus technique, introduit Yoshi, des niveaux à grande vitesse et des planètes dynamiques. « Galaxy 2, c’est l’ultra-marathon après le trail », sourit Camille. « Tu crois que tu as tout vu ? Attends de voir la galaxie des nuages volants. »
Plus de quinze ans après sa sortie, Super Mario Galaxy reste une référence en matière de design de niveaux et de narration immersive. Son mélange de poésie cosmique, de musique envoûtante (signée Koji Kondo) et de gameplay innovant en fait un chef-d’œuvre intemporel. « Ce n’est pas juste un jeu de plateforme », insiste Clément. « C’est une expérience sensorielle. Quand tu sautes d’une planète à l’autre, tu sens l’espace. Tu sens le vide. Et pourtant, tu te sens en sécurité, comme si l’univers t’appartenait. »
La version Switch permet de jouer à Galaxy sur écran portable, avec une prise en main moderne. Mais elle conserve l’essence du jeu original : la joie de l’exploration, la surprise des mécaniques, la beauté des décors. « C’est comme relire un bon livre », dit Léa. « Tu connais l’histoire, mais tu la redécouvres avec un regard neuf. »
Super Mario Galaxy est bien plus qu’un simple jeu de plates-formes. C’est une odyssée cosmique, une aventure qui mêle technique, émotion et imagination. Que l’on cherche à sauver Peach avec 60 étoiles ou à conquérir l’univers avec 241, chaque joueur y trouve son rythme, sa quête, son étoile. Entre les sauts gravitationnels, les comètes mystérieuses et les apparitions de Luigi, le jeu continue de briller comme au premier jour. Et pour ceux qui l’ont terminé à 100 %, il reste une certitude : dans l’espace, personne ne vous dit que c’est fini… sauf quand vous l’avez vraiment fait.
Il faut 60 étoiles pour débloquer le combat final contre Bowser et sauver la Princesse Peach. L’aventure principale est alors terminée, mais de nombreux niveaux restent inaccessibles.
Oui, après avoir collecté les 120 étoiles avec Mario, le joueur peut recommencer l’aventure en incarnant Luigi, dont le gameplay est plus glissant et exigeant.
La 241e étoile est accessible après avoir récupéré les 120 étoiles avec Luigi. Elle ouvre un niveau bonus extrêmement difficile, marquant la fin du jeu à 100 %.
Un guide vidéo n’est pas obligatoire, mais fortement recommandé pour les étoiles les plus cachées ou les défis liés aux comètes, qui peuvent être très complexes à découvrir par soi-même.
Après avoir terminé Super Mario Galaxy, les joueurs peuvent s’attaquer à sa suite, Super Mario Galaxy 2, qui reprend les mécaniques du premier tout en les amplifiant avec Yoshi, des niveaux plus dynamiques et de nouveaux défis.
En février 2026, quatre astronautes embarqueront pour un tour de la Lune lors de la…
Une passion née de livres, d’images stellaires et de rêves d’enfance. Jean-Charles Cuillandre incarne une…
Un traqueur GPS pas cher et ultra-efficace pour ne plus perdre ses affaires ? Le…
En Bretagne, deux villages testent un nouveau dispositif pour lutter contre les déserts médicaux :…
Des molécules organiques complexes, précurseurs de la vie, détectées dans les geysers d’Encelade grâce à…
Des chercheurs français ont créé du cartilage humain fonctionnel à partir de pommes décellularisées, une…