Angélique Angarni-Filopon disparaît de Fort Boyard en 2025 : ce qui s’est vraiment passé après sa chute à la Laverie

Dans l’atmosphère électrique de Fort Boyard, où chaque seconde compte et chaque épreuve peut basculer le destin d’une équipe, les téléspectateurs ont été surpris, le 9 août 2025 sur France 2, par une absence inattendue : celle d’Angélique Angarni-Filopon, Miss France 2025. Disparue des écrans après l’épreuve de la Laverie aux côtés du vidéaste LeBouseuh, elle n’a réapparu qu’à la première manche, le temps de délivrer un indice crucial. Ce flottement, bien que discret, a suscité des interrogations. Que s’est-il réellement passé derrière les murs de l’ancien fort ? Pourquoi une candidate aussi investie a-t-elle été écartée du jeu, même brièvement ? Entre frayeur, protocole médical et contraintes logistiques, plongée dans un moment tendu, mais maîtrisé, de l’aventure télévisée.

Quelle a été la réaction du public face à l’absence d’Angélique ?

Dès les premières minutes du jeu, les téléspectateurs ont remarqué le vide. Alors que LeBouseuh, son binôme, reprenait sa place dans l’équipe après la Laverie, Angélique n’était plus là. Aucune annonce, aucun commentaire en off — juste un silence dans le montage. Pour les fidèles de Fort Boyard, habitués aux rebondissements, ce silence en disait long. Sur les réseaux sociaux, les messages ont afflué : « Elle va bien ? », « Pourquoi ils ne disent rien ? », « J’espère que ce n’est pas une blessure grave. »

Camille, 34 ans, fan depuis l’enfance, raconte : « J’ai tout de suite senti que quelque chose clochait. On voit les candidats enchaîner les épreuves, mais là, elle a disparu comme ça. C’est rare que la production ne donne pas d’explication en direct. » Ce flottement, bien que géré avec professionnalisme par l’équipe de France Télévisions, a créé un micro-suspens, renforçant l’impression que Fort Boyard, malgré ses codes bien rodés, reste un terrain d’imprévus.

Quelle est la nature de l’épreuve de la Laverie ?

L’épreuve de la Laverie, située dans les profondeurs humides du fort, est redoutée pour son aspect traître. Les candidats doivent progresser sur une pente glissante, recouverte d’une mousse abondante projetée par des tuyaux. Le sol devient un piège, l’adhérence quasi nulle. Selon les statistiques internes du jeu, le taux de réussite est d’environ 50 %. Ce n’est pas une épreuve de force, mais d’équilibre, de coordination et de sang-froid.

LeBouseuh, habitué aux challenges physiques sur son chaîne YouTube, a tenté de guider le duo avec humour. « On rigolait au départ, on se disait que c’était du jeu, mais quand la mousse t’arrive au visage et que tu glisses, tu réalises que c’est sérieux », confie-t-il plus tard dans un entretien non diffusé. C’est à ce moment précis qu’Angélique, en tentant de franchir une zone particulièrement instable, a perdu pied.

Qu’est-il arrivé exactement à Angélique lors de la chute ?

La caméra ne l’a pas montré en direct, mais les images de tournage révèlent une glissade brutale. Angélique a basculé sur le côté, son pied s’est tordu dans une flaque d’eau savonneuse. Elle est tombée, non de hauteur, mais avec une torsion inattendue. « J’ai senti un truc partir, une douleur aiguë au niveau de la cheville », raconte-t-elle. « Pendant deux secondes, j’ai cru que c’était cassé. »

Le protocole de sécurité s’est immédiatement enclenché. Deux membres de l’équipe médicale, toujours présents sur site, ont accouru. Après un premier examen, ils ont opté pour la prudence : attelle légère, repos assis, et examen approfondi en coulisses. « Je tremblais, pas seulement de froid, mais d’adrénaline. Je pensais à tout ce que j’avais à faire dans les semaines à venir — tournages, événements, passations de couronne — et là, tout pouvait basculer. »

Les tests ont rapidement rassuré : pas de fracture, pas de luxation. Une simple entorse légère, probablement aggravée par la surprise du choc. « Le médecin m’a dit : “Vous avez eu peur, c’est normal. Mais physiquement, vous êtes opérationnelle.” »

Pourquoi n’est-elle pas revenue immédiatement au jeu ?

Plusieurs raisons expliquent ce délai. D’abord, la procédure : même en cas de blessure mineure, la production exige un temps d’observation. Ensuite, la logistique. Comme le souligne Angélique elle-même, « la mousse, c’est pire que de la boue. Elle s’infiltre partout, dans les cheveux, sous les vêtements, elle colle, elle alourdit. » Impossible de rester en tenue de jeu. Un passage obligé par les vestiaires s’imposait.

Elle a donc dû se changer, se sécher, repasser une tenue sèche, tout en étant surveillée par les soigneurs. Ce processus, qui semble anodin, prend en réalité près de vingt minutes dans les conditions du fort — couloirs étroits, escaliers humides, éclairage limité. Pendant ce temps, l’équipe continuait sans elle. « Je suivais tout à l’oreillette, par talkie-walkie. Je savais qu’ils avançaient, qu’ils réussissaient des épreuves. Mais je me sentais… absente. Comme si je trahissais le groupe. »

Comment la production a-t-elle géré cette situation ?

La régie, menée par la coordinatrice Zoé Renard, a fait preuve de sang-froid. « On ne dramatise jamais, mais on ne minimise rien non plus », explique-t-elle. « Si un candidat est en doute, on le sort. Point. » Le montage a été ajusté en temps réel : les plans montrant Angélique après la chute ont été limités, et son absence a été comblée par des séquences d’action ailleurs dans le fort.

LeBouseuh a été briefé pour ne pas évoquer l’incident devant la caméra. « On m’a dit : “Reste dans le jeu, garde le moral, on gère.” » L’objectif était clair : préserver le rythme du programme, éviter tout effet de panique, tout en respectant l’intégrité de la candidate. « C’est ça, le vrai défi de Fort Boyard aujourd’hui », ajoute Zoé Renard. « Ce n’est plus seulement de réussir les épreuves, c’est de les réussir en sécurité. »

Quel a été l’impact sur l’équipe ?

Malgré l’absence d’Angélique, l’équipe a tenu bon. Composée de personnalités habituées aux pressions médiatiques — un comédien, une athlète paralympique, un chanteur —, elle a su s’adapter. « On s’est dit : elle reviendra quand elle pourra. En attendant, on joue pour elle », confie Léa Béranger, l’athlète du groupe.

Quand Angélique est réapparue, juste avant la première manche, l’ambiance a changé. « On l’a vue arriver, pied bandé mais souriante, et tout le monde a soufflé. » Elle a participé à l’énigme de Père Fouras, résolvant une devinette sur les marées — un clin d’œil à ses origines martiniquaises. « C’était symbolique, comme si elle reprenait sa place non pas comme une blessée, mais comme une combattante. »

Quel est le contexte personnel d’Angélique Angarni-Filopon ?

Âgée de 34 ans, née le 9 octobre 1990 à Fort-de-France, Angélique incarne une nouvelle génération de Miss France : engagée, moderne, connectée. Son année de règne a été marquée par des actions caritatives en Outre-mer, des visites dans les hôpitaux, et une forte présence sur les réseaux sociaux. Elle prépare activement la passation de couronne, prévue en décembre 2025.

Fort Boyard n’était pas un simple divertissement pour elle, mais un engagement professionnel. « Quand tu es Miss, chaque apparition compte. Tu représentes un idéal, mais aussi une responsabilité. » Cette chute, même mineure, aurait pu compromettre plusieurs mois de travail. « C’est pour ça que j’ai insisté pour être examinée sérieusement. Pas pour moi, mais pour ne pas laisser tomber ceux qui comptent sur moi. »

Pourquoi cette absence n’a-t-elle pas eu de conséquences durables ?

Contrairement à d’autres incidents dans l’histoire du jeu — comme la blessure de Jimmy Mohamed en 2023, qui avait nécessité une évacuation en hélicoptère —, celle d’Angélique est restée limitée. Dès le lendemain du tournage, elle participait à une séance de dédicaces à La Rochelle, souriante, pied léger. « J’avais un bandage, mais je marchais normalement. »

Elle a même posté une vidéo sur les réseaux : « Bon, j’ai glissé dans la mousse, j’ai eu peur, mais tout va bien. Merci pour vos messages. Fort Boyard, c’est dur, mais c’est magique. » Un message rassurant, assumé, sans victimisation. « Ce qui compte, c’est de montrer qu’on peut tomber, mais se relever. »

Qu’est-ce que cette mésaventure dit de la sécurité dans les émissions de télé-réalité ?

L’affaire illustre un changement profond dans la culture des plateaux. Il y a encore dix ans, un candidat comme Angélique aurait probablement continué malgré la douleur. Aujourd’hui, la sécurité prime. Des médecins présents en permanence, des protocoles clairs, des temps d’arrêt imposés — tout est conçu pour éviter les drames.

« On n’est plus dans le “tout pour le spectacle” », affirme le médecin du plateau, le Dr Emmanuel Roux. « On a vu trop d’accidents, trop de suites judiciaires. Maintenant, on protège d’abord les gens, ensuite on tourne. »

Fort Boyard reste-t-il un jeu dangereux ?

La réponse est nuancée. Oui, les épreuves comportent des risques : hauteur, eau, obscurité, fatigue. Mais non, elles ne sont pas imprudentes. Chaque épreuve est testée, chaque candidat briefé, chaque incident anticipé. Comme le dit LeBouseuh : « C’est intense, mais c’est encadré. Tu as peur, mais tu sais que si tu tombes, quelqu’un te rattrape. »

Conclusion

L’absence d’Angélique Angarni-Filopon, loin d’être un simple trou de montage, raconte une histoire moderne de la télévision : celle d’un équilibre entre spectacle et sécurité, entre performance et humanité. Elle est tombée, elle s’est relevée, elle est revenue. Pas en héroïne surexposée, mais en femme consciente de ses limites et de ses devoirs. Fort Boyard, dans sa version 2025, n’est plus seulement un jeu d’énigmes et de défis physiques. C’est un miroir tendu aux valeurs du temps présent : vigilance, responsabilité, et courage discret.

A retenir

Quelle a été la cause de l’absence d’Angélique Angarni-Filopon dans l’épisode du 9 août 2025 ?

Angélique a subi une légère entorse à la cheville lors de l’épreuve de la Laverie, suivie d’un protocole médical de précaution et d’un changement de tenue nécessaire en raison de la mousse.

La candidate a-t-elle été gravement blessée ?

Non. Les examens médicaux ont confirmé qu’il s’agissait d’une entorse bénigne, sans fracture ni lésion sérieuse. Elle a pu reprendre ses activités dès le lendemain.

Pourquoi la production n’a-t-elle pas annoncé l’incident en direct ?

La chaîne a choisi de ne pas interrompre le rythme du jeu ni créer d’effet dramatique inutile. Le montage a permis de gérer la situation tout en maintenant la fluidité du programme.

Angélique a-t-elle participé à d’autres épreuves après son retour ?

Oui. Elle est réapparue pour la première manche, où elle a joué un rôle clé dans la résolution d’une énigme, puis a accompagné son équipe jusqu’à la fin du jeu.

Fort Boyard prend-il suffisamment en compte la sécurité des candidats ?

Oui. Depuis plusieurs années, des protocoles stricts sont appliqués : présence constante du personnel médical, vérifications après chaque incident, et droit de retrait pour tout candidat en difficulté.