Le coupé, autrefois accessible, disparaît des routes sous la pression des normes, des coûts et de la fiscalité. Seuls les modèles prestigieux ou collectibles résistent, tandis que l’occasion peine à séduire.
Un exercice d’interception au-dessus du Maroc met en scène des F-16 marocains et un Airbus A330 MRTT Phénix escorté par des Rafale. Cette coopération franco-marocaine renforce l’interopérabilité et la sécurité aérienne dans un contexte stratégique exigeant.
Brigitte Bardot a tout quitté pour ses convictions après qu’un journaliste a refusé de s’unir à elle. Cette rupture, liée à la pression médiatique, a scellé son engagement radical pour la protection des animaux.
Une nouvelle zone commerciale s’installe près des serres, mêlant vente locale, restauration et ateliers. Ce projet en circuit court, porté par des artisans engagés, redynamise l’activité tout au long de l’année.
Une réforme en 2025 plafonne les frais de succession à 1 % et rend gratuits les petits héritages et ceux concernant les mineurs, apportant transparence et équité dans un moment déjà difficile.
Une retraitée de 63 ans, avec 900 € mensuels, voit ses charges de chauffage tripler malgré une consommation minimale. Prise entre dettes, procédure et promesses de travaux reportés, son combat reflète la précarité énergétique de nombreux seniors.
Les conducteurs de diesel bénéficient d’un cadre d’indemnisation élargi pour les pannes liées à l’AdBlue, avec prise en charge totale ou partielle selon l’âge et le kilométrage, et des remboursements possibles depuis 2021.
Un employé de Lidl alerte sur des fragments de plastique retrouvés sur les tomates : un problème de sécurité alimentaire qui pousse à revoir nos gestes d’achat et de nettoyage.
Depuis juillet, la plage de Meaux adopte un accès encadré avec bracelets et horaires fixes, réduisant l’affluence et améliorant le confort. Résultat : un cadre plus calme, une baignade sécurisée et une fréquentation maîtrisée pour tous les visiteurs.
À Jablines-Annet, seuls le maillot et le short de bain sont autorisés pour des raisons de sécurité et d’hygiène. Cette règle stricte, parfois source de tensions, soulève un débat sur le respect, la convivialité et les limites du vivre-ensemble en milieu aquatique.