Salaire Lacarrau Plus De 30k Euros Revele Castaldi 2025
Depuis 2020, Marie-Sophie Lacarrau incarne le Journal de 13 Heures sur TF1, succédant à Jean-Pierre Pernaut après une carrière de plus de trois décennies. Derrière l’écran, son visage familier inspire confiance, mais derrière les chiffres, c’est un écosystème complexe de prestige, de pression et de rémunération qui se dévoile. Comment une journaliste rejoint-elle ce fauteuil tant convoité ? Quel salaire accompagne cette responsabilité ? Et comment concilie-t-elle innovation et héritage ? Autant de questions que nous explorons ici, en croisant témoignages et analyses.
Lors d’un entretien avec Télé Star, Marie-Sophie Lacarrau a admis être « une privilégiée », sans jamais dévoiler officiellement son salaire. Cependant, des sources proches du secteur estiment qu’elle percevrait environ 30 000 euros par mois. Une somme confortable, mais selon Benjamin Castaldi, cette estimation serait sous-évaluée. L’animateur, bien informé des rouages télévisés, suggère que les revenus d’une figure aussi centrale que Lacarrau pourraient atteindre des sommets proches de ceux de son prédécesseur, Jean-Pierre Pernaut, dont le salaire était estimé à plus de 50 000 euros mensuels, malgré ses dénégations.
Avant TF1, Lacarrau officiait sur France 2 avec un salaire de 12 000 euros par mois, selon Cyril Hanouna. Son passage sur la première chaîne du service public marque une envolée financière, mais aussi une montée en puissance professionnelle. « Ce n’est pas une question d’argent, mais de reconnaissance », affirme Clément Moreau, ancien producteur d’émissions d’information. « Animer le JT de 13 Heures, c’est porter un symbole. La rémunération reflète cette charge symbolique autant que technique. »
« Je n’ai pas cherché à détruire l’héritage », insiste Lacarrau, consciente de succéder à une figure légendaire. Pourtant, sous sa direction, le journal a intégré des formats innovants, comme des reportages interactifs ou des focus sur des sujets sociétaux. « Elle a redonné du souffle sans trahir l’esprit du JT », note Léa Fontaine, journaliste culturelle. « La preuve ? Une rentrée 2023 avec 4,5 millions de téléspectateurs en moyenne. Un record depuis 2019. »
Chaque matin, Lacarrau retrouve son équipe à 7h30 pour co-construire le journal. « C’est un travail collectif », explique Marc Lévy, réalisateur de l’émission. « Elle est exigeante, mais ouverte aux idées nouvelles. Son énergie motive tout le monde. » Cette collaboration quotidienne, alliée à une vision éditoriale claire, a permis de maintenir l’audience malgré les critiques sur la continuité du format.
« Être la voix de millions de foyers, c’est une responsabilité énorme », confie en souriant Thomas Renaud, ancien collègue de Lacarrau. « Elle doit jongler entre l’objectivité journalistique, les contraintes de la rédaction et l’image publique. Sans compter les réseaux sociaux, où chaque micro-expression est décortiquée. »
Face aux critiques sur le manque de « journalisme pur », Lacarrau reste ferme. « Nous adaptons les sujets aux attentes du public sans sacrifier la rigueur », explique-t-elle. Un équilibre délicat, mais salué par une partie du métier. « Elle a compris que le JT n’est plus seulement une chronique d’actualité, mais une vitrine de l’identité nationale », analyse Sophie Delaunay, sociologue des médias.
Benjamin Castaldi rappelle que les salaires varient selon la notoriété et le format. Un animateur d’émission quotidienne gagne entre 8 000 et 15 000 euros, tandis qu’un prime time peut rapporter 20 000 à 30 000 euros. Avec son JT quotidien et ses interventions spéciales, Lacarrau se situe probablement à la frontière de ces catégories, justifiant un salaire supérieur à la moyenne.
Cyril Hanouna, animateur de Touche pas à mon poste, touche environ 40 000 euros mensuels. « C’est un cas à part », nuance Clément Moreau. « Son show est un produit dérivé de la télévision traditionnelle, mêlant humour et polémique. Lacarrau, elle, incarne un service public, ce qui justifie une rémunération différente, même si les deux formats attirent des audiences comparables. »
Les estimations officieuses plafonnent à 30 000 euros par mois, bien que des sources proches du milieu suggèrent un montant plus élevé. Cette rémunération inclut probablement des primes liées aux audiences et aux éditions spéciales.
Elle doit concilier héritage historique et innovation éditoriale, tout en répondant aux attentes d’un public diversifié. La pression médiatique, accentuée par les réseaux sociaux, ajoute une dimension émotionnelle à son travail.
Si Pernaut a laissé une empreinte indélébile, Lacarrau a su redéfinir le JT sans trahir son esprit. « Elle a modernisé le ton tout en gardant la proximité », résume Léa Fontaine. « Un équilibre fragile, mais réussi. »
La notoriété, la durée et la fréquence des apparitions sont des critères clés. Les animateurs de prime time ou d’émissions événementielles touchent des cachets plus élevés, tandis que les formats quotidiens reposent sur une stabilité de l’audience pour justifier des rémunérations élevées.
Le bicarbonate de soude pour l'épilation faciale : une méthode économique mais peu efficace à…
Découvrez comment un cintre déplié et une tasse d'eau bouillante débouchent un évier en 60…
Découvrez comment éliminer les mouches à fruits avec un piège maison simple et écologique. En…
Une alerte dénonce les tupperwares usagés : BPA, phtalates menacent la santé. Découvrez des alternatives…
Ce geste quotidien en dit long : marcher les mains dans le dos traduit-il autorité,…
Éliminez les fourmis envahissantes grâce à des méthodes naturelles et écologiques. Des solutions sans pesticides…