Un nouveau départ en Asie pour la compagne de Jean Dujardin avant une rentrée chargée en 2025

Entre renaissance personnelle et reconquête professionnelle, elle avance avec une détermination calme, presque silencieuse. Ancienne patineuse de haut niveau, habituée aux trajectoires précises et aux gestes maîtrisés, elle trace désormais sa route loin des projecteurs, mais non loin de l’impact. Après un long voyage en Asie du Sud-Est, elle revient en France avec un regard neuf, un carnet rempli d’émotions et un cap clairement défini : allier stratégie, humanité et bien-être. Mère de deux filles, Jeanne et Alice, issues de son histoire avec Jean Dujardin, elle incarne une nouvelle forme de leadership – discret, profond, ancré dans les valeurs. Ce n’est pas une rupture, mais une évolution. Et cette rentrée, loin d’être ordinaire, s’annonce comme un moment charniel dans sa vie.

Quel est le nouveau rôle professionnel qu’elle occupe aujourd’hui ?

En juillet, elle a officialisé son arrivée chez MCI France, un groupe spécialisé dans la gestion d’événements, la communication et le conseil stratégique. Elle y occupe désormais le poste de directrice des stratégies de développement, une fonction qui correspond parfaitement à son parcours atypique et à son expertise en marketing. Ancienne directrice déléguée du Club France, structure emblématique ayant accompagné les athlètes français lors des Jeux Olympiques, elle a su s’imposer par son sérieux, sa rigueur et sa vision globale. À MCI France, elle est attendue pour redynamiser les approches de développement, en insufflant une dimension humaine et durable dans chaque projet.

« Ce qui me touche chez elle, c’est sa capacité à penser à la fois grand et juste », confie Léa Bénichou, consultante en stratégie de marque, qui a collaboré avec elle lors d’un séminaire à Lyon. « Elle ne se contente pas de chiffres ou de plans marketing. Elle demande toujours : “À quoi ça sert ? Pour qui ? Quel impact ?” C’est rare, surtout à ce niveau de responsabilité. »

Elle a d’ores et déjà mis en place une méthode de travail fondée sur l’agilité et la co-construction. Réunions courtes, priorisation claire, indicateurs de résultats simples mais pertinents : son approche séduit au sein de l’entreprise. « Elle arrive avec une énergie posée, mais contagieuse », ajoute Thomas Renard, chef de projet digital chez MCI. « Elle ne crie pas, elle écoute. Et quand elle parle, on l’entend. »

Pourquoi a-t-elle quitté sa maison en Gironde ?

En parallèle de sa prise de fonction, elle a décidé de mettre en location sa propriété située près de Saint-Émilion, un havre de paix qu’elle avait aménagé avec soin après plusieurs années passées en région bordelaise. Ce choix n’est pas anodin. Il s’inscrit dans une volonté de légèreté, de mobilité et de disponibilité. « Je ne veux pas être ancrée dans un lieu au point d’y perdre ma liberté de mouvement », explique-t-elle dans un entretien informel avec une amie proche, recueilli par un journaliste lors d’un dîner à Bordeaux. « Ma vie est faite de transitions. Je préfère garder les portes ouvertes. »

Cette décision reflète aussi un recentrage sur l’essentiel. La maison, bien que magnifique, représentait un engagement logistique et émotionnel important. En la quittant, elle se libère de contraintes pour mieux se consacrer à ses missions, à ses filles et à ses engagements associatifs. « Elle a toujours su faire des choix radicaux quand ils étaient nécessaires », témoigne Camille Féraud, ancienne compagne d’entraînement de l’époque de sa carrière sportive. « Sur la glace, comme dans la vie, elle ne fait pas demi-tour. Elle ajuste, et elle continue. »

Comment le voyage au Cambodge a-t-il influencé son retour en France ?

Son séjour au Cambodge, en août 2025, a été bien plus qu’une simple pause. C’était une immersion, une reconnexion. Elle a partagé sur Instagram un carrousel de photos marquantes : rizières en terrasses baignées de lumière, sourires d’enfants au bord des routes, marchés colorés où s’entremêlent senteurs de citronnelle et de poisson grillé. La légende ? « Cambodge. Touchée en plein cœur. » Un message sobre, mais chargé de vérité.

Pendant plusieurs semaines, elle a marché dans les forêts humides, visité des villages reculés, participé à des ateliers de cuisine locale. Mais c’est devant Angkor Wat, au lever du soleil, qu’elle a eu ce moment de profonde introspection. « J’ai pensé à tout ce qui passe, et à ce qui reste », confie-t-elle à son carnet, dont des extraits ont été relayés par une proche. « Les pierres sont là depuis mille ans. Les gens viennent, repartent. Mais l’essentiel, c’est ce qu’on emporte avec soi. »

Ce voyage a été un véritable ressourcement. Elle y a retrouvé une forme de simplicité, de gratitude, qu’elle avait parfois perdue dans les rythmes effrénés de la vie parisienne. « Elle est revenue différente », observe Élise Tamin, psychologue spécialisée dans le bien-être des femmes actives. « Pas transformée, mais recentrée. Comme si elle avait retrouvé une boussole intérieure. »

Quel lien entretient-elle avec Jean Dujardin aujourd’hui ?

Malgré la fin de leur relation amoureuse, elle et Jean Dujardin entretiennent une complicité rare, fondée sur la confiance, le respect et l’amour partagé pour leurs deux filles, Jeanne et Alice. Ils ont construit une forme de parentalité bienveillante, où chacun occupe sa place sans empiéter sur l’autre. « Ils se parlent tous les jours, souvent en riant », révèle un proche de la famille, sous couvert d’anonymat. « Ils ont gardé une forme d’humour complice, même après toutes ces années. »

Il est d’ailleurs fréquent qu’il la soutienne dans ses nouveaux projets. Lors de son arrivée chez MCI France, il lui a envoyé un message sobre mais touchant : « Bravo. Tu vas leur montrer ce que c’est, une vraie stratégie. » Un clin d’œil à la fois tendre et admiratif. Et lorsqu’elle partageait sa vidéo en tuk-tuk, brosse à dents à la main, souriant aux éclats, il a commenté : « Toujours aussi gracieuse. » Une manière de rappeler leur complicité, tout en préservant leur intimité.

« Ce qu’ils ont réussi, c’est rare », analyse la journaliste Clémence Oury, spécialiste des figures publiques. « Ils ont su transformer une histoire d’amour en une alliance durable. Sans conflit, sans spectacle. Juste de la sincérité. »

Comment s’engage-t-elle auprès des enfants malades ou handicapés ?

Depuis plusieurs années, elle s’investit activement auprès de l’association Premiers de Cordée, qui propose des séjours sportifs adaptés à des enfants atteints de maladies graves ou en situation de handicap. Elle n’est pas seulement marraine de nom : elle participe aux projets sur le terrain, accompagne des groupes, échange avec les familles. « Elle vient vraiment », souligne Raphaël Lenoir, directeur de l’association. « Elle n’envoie pas de représentant. Elle est là, en baskets, à aider à monter les tentes ou à encadrer une sortie en VTT. »

L’un de ses moments les plus marquants ? Un séjour en montagne avec un groupe d’enfants atteints de cancer. « Il y avait une fillette, Lina, 10 ans, en rémission », raconte-t-elle dans un entretien privé. « Elle a réussi à faire une descente en luge toute seule. Elle criait de joie. J’ai pleuré. Pas de tristesse. De fierté. »

Cet engagement n’est pas un simple geste de solidarité. Il fait écho à sa propre histoire : ancienne sportive de haut niveau, elle connaît la puissance du corps, du mouvement, de la dépense physique comme vecteur de libération. « Le sport, ce n’est pas que de la performance », insiste-t-elle. « C’est une forme de liberté. Même quand tout semble bloqué. »

Quel est le sens de son mécénat avec Natural Break ?

En tant que marraine de Natural Break, un concept quatre saisons imaginé par Thierry Jacob, elle met en lumière une philosophie simple : reconnecter les gens à la nature, au mouvement, au bien-être, sans pression ni performance. Les centres Natural Break proposent des activités douces – randonnées, yoga, ateliers de pleine conscience – dans des lieux préservés.

« Ce qui me parle, c’est l’absence de compétition », explique-t-elle. « On ne vient pas pour être le meilleur. On vient pour être soi. » Un écho direct à son parcours : après des années de discipline extrême sur la glace, elle a appris à apprécier les gestes lents, les pauses, le silence.

Elle participe régulièrement à des ateliers, mais aussi à la conception des programmes. « Elle a suggéré d’ajouter des moments de partage entre participants », raconte Thierry Jacob. « Pas de parole imposée, mais des cercles de parole libres. Une idée simple, mais profonde. »

Comment allie-t-elle vie professionnelle, engagement et maternité ?

La clé, selon elle, réside dans la clarté des priorités. « Je ne fais pas tout en même temps », confie-t-elle. « Je fais les choses une par une, mais avec intensité. » Elle a mis en place un rythme qui lui ressemble : des semaines denses, suivies de moments de pause. Elle refuse le culte de l’urgence permanente.

Ses filles, Jeanne et Alice, sont au cœur de son équilibre. « Elles me rappellent ce qui compte », dit-elle. « Quand je rentre le soir, on cuisine ensemble. On rit. On parle peu de mon travail. On parle de leurs rêves, leurs peurs, leurs copains. »

Et quand la pression monte, elle s’autorise à déconnecter. Un week-end en forêt, une nuit sous la tente, une balade en vélo. « Je ne suis pas parfaite », sourit-elle. « Mais je suis présente. C’est déjà beaucoup. »

Quels chantiers concrets l’attendent à MCI France ?

Elle travaille actuellement sur trois axes majeurs : la digitalisation des événements, l’intégration de critères ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) dans les stratégies clients, et le renforcement des partenariats avec des associations d’intérêt général. Chaque projet est conçu pour être mesurable, simple à déployer, et porteur de sens.

« On veut sortir du “greenwashing” », précise-t-elle. « Proposer des actions réelles, pas des communications creuses. » Un défi ambitieux, dans un secteur parfois plus enclin au spectacle qu’à l’impact.

Comment le voyage nourrit-il désormais son action ?

Le Cambodge n’était pas une parenthèse. C’était une phase de récolte. Les images, les rencontres, les silences, les saveurs – tout cela alimente aujourd’hui ses décisions. « J’ai compris qu’on peut être puissant sans être bruyant », dit-elle. « Qu’on peut avancer sans tout déranger. »

Elle revient avec une méthode, une énergie, et une conviction : chaque action doit avoir un sens. Que ce soit dans un meeting d’entreprise ou dans un atelier avec des enfants malades, elle cherche toujours la justesse. « Le voyage m’a appris à regarder », conclut-elle. « Regarder les gens. Regarder la terre. Regarder ce qui est vrai. »

A retenir

Quel est le nouveau poste qu’elle occupe ?

Elle est désormais directrice des stratégies de développement chez MCI France, où elle déploie une vision humaine et pragmatique du marketing et de la communication.

Pourquoi a-t-elle quitté sa maison en Gironde ?

Elle a choisi de louer sa propriété pour gagner en mobilité, en légèreté, et en liberté d’action, en phase avec son mode de vie itinérant et ses nouvelles missions.

Quel a été l’impact de son voyage au Cambodge ?

Ce séjour a été une reconnexion profonde à la nature, aux autres et à elle-même. Il a renforcé sa volonté d’agir avec sens, simplicité et authenticité.

Comment vit-elle sa co-parentalité avec Jean Dujardin ?

Elle entretient avec Jean Dujardin une relation sereine, fondée sur la confiance, le respect et une complicité durable, au bénéfice de leurs deux filles, Jeanne et Alice.

Quels sont ses engagements associatifs ?

Elle est fortement impliquée auprès de Premiers de Cordée et marraine de Natural Break, deux structures qui allient sport, nature et bien-être pour des publics fragilisés.